Chapitre 4
Nous y voilà enfin. Après quelques temps de construction, me voilà enfin chez moi ou plutôt me voilà enfin dans mon orphelinat. Oui, à présent, ce ne sont plus des animaux que je vais recueillir mais des enfants dans le besoin.
Depuis que je sais que suis stérile, j'ai toujours pensé à faire ce type de bâtiment pour les enfants n'ayant pas de toit. Et avec l'histoire d'Ysobel, j'étais deux fois plus décidée même si j'avais déjà lancé les travaux bien avant. Je ne cache pas que je suis fière d'avoir réussi à mettre en place ceci et donc, ma petite brune Ysobel sera ma première pensionnaire.
Je ne sais pas si je pouvais réellement dire "pensionnaire" car la plus part des enfants sont rarement adoptés. Et je crois que j'aurais du mal à les laisser partir même si pour le moment les adoptions ne sont pas mis en place. Je m'attache facilement aux jeunes, aux enfants..
Nous sommes installées depuis une petite semaine mais les travaux ne sont pas entièrement finis. Il reste pas mal de pièces de la maison à compléter et aussi pas mal de terrains pour les chevaux à construire ou à finir. La maison a été conçue pour accueillir une bonne dizaine d'enfants. Les pièces sont globalement très grandes et cela me change pas mal de mes anciennes maisons car tout était basé/conçu pour les animaux. Il y a un grand salon qui a été meublé dans les tons rouge car Ysobel adore cette couleur et je n'ai pas pu m'empêcher de l'écouter et de répondre à son envie. En fait, tout le bas est installé sauf les bureaux personnels des enfants. A l'étage, seul trois chambres sont opérationnelles et au moins une salle de bain, le reste, sera fait dans les jours à venir.
Depuis que je sais que suis stérile, j'ai toujours pensé à faire ce type de bâtiment pour les enfants n'ayant pas de toit. Et avec l'histoire d'Ysobel, j'étais deux fois plus décidée même si j'avais déjà lancé les travaux bien avant. Je ne cache pas que je suis fière d'avoir réussi à mettre en place ceci et donc, ma petite brune Ysobel sera ma première pensionnaire.
Je ne sais pas si je pouvais réellement dire "pensionnaire" car la plus part des enfants sont rarement adoptés. Et je crois que j'aurais du mal à les laisser partir même si pour le moment les adoptions ne sont pas mis en place. Je m'attache facilement aux jeunes, aux enfants..
Nous sommes installées depuis une petite semaine mais les travaux ne sont pas entièrement finis. Il reste pas mal de pièces de la maison à compléter et aussi pas mal de terrains pour les chevaux à construire ou à finir. La maison a été conçue pour accueillir une bonne dizaine d'enfants. Les pièces sont globalement très grandes et cela me change pas mal de mes anciennes maisons car tout était basé/conçu pour les animaux. Il y a un grand salon qui a été meublé dans les tons rouge car Ysobel adore cette couleur et je n'ai pas pu m'empêcher de l'écouter et de répondre à son envie. En fait, tout le bas est installé sauf les bureaux personnels des enfants. A l'étage, seul trois chambres sont opérationnelles et au moins une salle de bain, le reste, sera fait dans les jours à venir.
Alors me voilà à présent avec un orphelinat et plus avec un refuge pour animaux. Cependant, les animaux ne sont pas totalement en restes. Je ne compte plus accueillir des animaux pour les replacer par la suite, dans des foyer. Cependant, ma mère a fait un travail fou pour mettre tout ca en place et je ne veux pas gâcher tous ses efforts même si cela doit rester une passion avant tout. J'ai toujours adhéré au fait que ma mère prenne les animaux en retraite, alors je vais continuer cela et recueillir les vieux chevaux, chats, chiens, etc qui méritent d'avoir des derniers jours tranquilles et emplis d'amour. De plus, j'étais entrain de mettre en place un contrat pour les éleveurs qui ne voulaient plus (ou pas) garder leurs vieux animaux au sein de leur élevage, qui ne répondaient donc plus aux besoins et aux objectifs de l'élevage en question. Avec ce contrat, ils seraient automatiquement légués au refuge à leur moment de mise en retraite.
L'orphelinat était mon objectif premier et les animaux en retraites, mon second objectif. Cependant, un petit troisième vient se joindre aux deux autres : une sorte de petit centre équestre, pour les enfants qui voudront se consacrer ou encore, passer du temps avec les chevaux ou tout simplement, dans le monde équestre. J'ai d'ailleurs déjà repéré une petite ponette qui devrait nous rejoindre assez vite. Une ponette qui pourrait parfaitement correspondre à Ysobel qui semble bien aimer les chevaux et d'ailleurs, elle me l'a confié pendant le voyage. Et même sans me le confier, je l'avais bien remarqué par le fait, qu'elle pouvait facilement approcher Balkö sans que Mystral dise quelque chose.
Ysoble était vraiment une jeune fille adorable et elle ne cessait de me remercier de l'avoir "enlevé" de sa famille... quelque peu... désagréable. Elle passait son temps à mes côtés et m'aidait pour tout et n'importe quoi. D'ailleurs Marianne était toujours avec moi et j'étais vraiment contente de l'avoir à mes côtés. Elle m'aidait vraiment. Heureusement que j'avais les filles avec moi car en ce moment, je passais le plus clair de mon temps dans mon bureau sois à faire accélérer les choses, sois dans les papiers... et j'en passe.
L'orphelinat était mon objectif premier et les animaux en retraites, mon second objectif. Cependant, un petit troisième vient se joindre aux deux autres : une sorte de petit centre équestre, pour les enfants qui voudront se consacrer ou encore, passer du temps avec les chevaux ou tout simplement, dans le monde équestre. J'ai d'ailleurs déjà repéré une petite ponette qui devrait nous rejoindre assez vite. Une ponette qui pourrait parfaitement correspondre à Ysobel qui semble bien aimer les chevaux et d'ailleurs, elle me l'a confié pendant le voyage. Et même sans me le confier, je l'avais bien remarqué par le fait, qu'elle pouvait facilement approcher Balkö sans que Mystral dise quelque chose.
Ysoble était vraiment une jeune fille adorable et elle ne cessait de me remercier de l'avoir "enlevé" de sa famille... quelque peu... désagréable. Elle passait son temps à mes côtés et m'aidait pour tout et n'importe quoi. D'ailleurs Marianne était toujours avec moi et j'étais vraiment contente de l'avoir à mes côtés. Elle m'aidait vraiment. Heureusement que j'avais les filles avec moi car en ce moment, je passais le plus clair de mon temps dans mon bureau sois à faire accélérer les choses, sois dans les papiers... et j'en passe.
Si moi je travaillais dur dans mon bureau, à fignoler quelques travaux, etc, les chevaux eux, se l'a coulaient douce. Mais d'un côté, c'était pas plus mal car cela montrait qu'ils s'étaient bien adaptés aux nouveaux lieux.
Balkö avait la pêche et le montrait bien. Je crois qu'elle avait autant d'énergie que Tywelda. J'espérais quand même qu'elle se calmerait avec le temps car une jument à donf h24, était déjà pas mal. Mais cela ne m'empêchait pas de les aimer plus que tout.
En ce moment, la pouliche avait tendance à recopier tout ce que faisait sa mère. Elle broutait, elle essayait de choper les herbes, elle galopait, elle se mettait à galoper, elle se roulait, elle se roulait aussi. Seul Tywedla était plus ou moins calme en ce moment. Ce qui était bien étonnant d'elle. Peut-être que le voyage l'avait un peu calmé, ou le changement de lieu.
En ce moment, la pouliche avait tendance à recopier tout ce que faisait sa mère. Elle broutait, elle essayait de choper les herbes, elle galopait, elle se mettait à galoper, elle se roulait, elle se roulait aussi. Seul Tywedla était plus ou moins calme en ce moment. Ce qui était bien étonnant d'elle. Peut-être que le voyage l'avait un peu calmé, ou le changement de lieu.
Malgré tout le boulot, nous arrivions à trouver des moments pour monter à cheval ou se balader. Mais le plus souvent, s'était Marianne qui en profitait pour moi. Elle n'avait pas pu s'empêcher d'aller découvrir les nouveaux environs. Elle avait donc sellé Alwyn et avait filé aux travers ces nouveaux paysages.
Le temps passe vite malgré tout. Les chosent avances plutôt bien même si ya toujours un petit truc pour ... emmerder les monde et freiner un peu les choses. Mais on s'en sort bien, tellement bien que j'ai enfin pu me détendre un peu dans mon nouveau jardin, avec Marianne et Ysobel qui jouait tranquillement dans le sable.
Elle se portait vraiment bien et était en pleine santé. C'est comme si mon premier objectif avec l'orphelinat était au moins un peu atteint et/ou rempli. Elle avait vraiment le sourire et de nouveau la joie de vivre et ceci, était le plus beau des cadeaux.
Oblet s'était lui aussi bien adapté aux lieux et faisait sa petite vie.
La seule qui me manquant un peu, était l'eau, la mer pour aller nager de temps en temps. Mais, une chose me manquait encore plus, la magie. Pour le moment je ne pouvais pas m'en servir car je n'avais pas encore confectionné mon petit coin à moi pour cela. J'avais bien emmené mon vieux livre mais il était caché pour le moment.
La seule qui me manquant un peu, était l'eau, la mer pour aller nager de temps en temps. Mais, une chose me manquait encore plus, la magie. Pour le moment je ne pouvais pas m'en servir car je n'avais pas encore confectionné mon petit coin à moi pour cela. J'avais bien emmené mon vieux livre mais il était caché pour le moment.
Le temps passe parfois vite et c'est bien le cas en ce moment. Le temps passe vite et les jours défilent vite. Logique. D'ailleurs, au fil de cette petite course contre la montre, pas mal de nouveaux arrivants sont arrivés à la maison ou plutôt, au refuge. En fait je ne savais plus trop si je devais dire maison, refuge ou encore orphelinat. Je fais tellement de choses à la fois pour venir en aide aux animaux ainsi qu'aux enfants que je ne savais plus comment définir ma demeure. Mais le principal pour moi, était que tout le monde s'y sente bien !
Les deux derniers arrivés sont mes deux premiers chevaux en retraites ! Je suis vraiment contente d'accueillir les deux premiers pensionnaires qui vont honorer ce projet que j'ai toujours eu à cœur, tout comme ma mère.
Ils viennent d'assez loin et ont fait un long voyage. Je pense donc qu'ils sont plus qu'heureux d'arriver enfin à destination. Ce sont des chevaux de Blue Feather Ranch, dont je suis propriétaire depuis un moment à présent. Emma a su pour ce projet en ce qui me concerne et n'a pas hésité à me léguer deux équidés de son élevage en âge d'être en retraite. C'est alors que j'accueille aujourd'hui Californie du Norton et Krocna du FauconNoir. Deux quarterhorse que je trouve plutôt jolis. Ils se sont bien habitués aux lieux malgré que cela change pas mal de là où ils étaient avant. Les températures et pleins d'autres choses sont bien différents de leur ancien lieu de vie. Mais, Californie a encore un peu de mal à s'y faire. Cependant, comme c'est un cheval qui semble bien épuisé par son parcours et ses soucis d'équilibres, il reste tranquille et posé dans son pré. Krocna est elle, un peu plus curieuse et observe pas mal les alentours.
Je suis vraiment contente d'accueillir mes deux premiers animaux en retraites.
Les deux derniers arrivés sont mes deux premiers chevaux en retraites ! Je suis vraiment contente d'accueillir les deux premiers pensionnaires qui vont honorer ce projet que j'ai toujours eu à cœur, tout comme ma mère.
Ils viennent d'assez loin et ont fait un long voyage. Je pense donc qu'ils sont plus qu'heureux d'arriver enfin à destination. Ce sont des chevaux de Blue Feather Ranch, dont je suis propriétaire depuis un moment à présent. Emma a su pour ce projet en ce qui me concerne et n'a pas hésité à me léguer deux équidés de son élevage en âge d'être en retraite. C'est alors que j'accueille aujourd'hui Californie du Norton et Krocna du FauconNoir. Deux quarterhorse que je trouve plutôt jolis. Ils se sont bien habitués aux lieux malgré que cela change pas mal de là où ils étaient avant. Les températures et pleins d'autres choses sont bien différents de leur ancien lieu de vie. Mais, Californie a encore un peu de mal à s'y faire. Cependant, comme c'est un cheval qui semble bien épuisé par son parcours et ses soucis d'équilibres, il reste tranquille et posé dans son pré. Krocna est elle, un peu plus curieuse et observe pas mal les alentours.
Je suis vraiment contente d'accueillir mes deux premiers animaux en retraites.
J'ai également fais l'acquisition d'une ponette. Elle est arrivée bien avant les deux quarterhorse et est donc plus habituée à la maison. Je l'ai acheté pour ma petite Ysobel qui souhaitait plus que tout un cheval à elle. Quand je suis tombée sur cette vente, je me suis dis que se serait l'occasion de lui faire plaisir et de réaliser son rêve. Après tout, je suis là et j'ai ouvert un orphelinat pour redonner goût à la vie des enfants alors... Je lui aie offert ASF MeïDeï, une ponette bai avec un peu de caractère, plus que je le pensais en fait. Ysobel est vraiment heureuse de cette petite bai même si pour le moment elle ne l'a monte pas encore. En fait, j'ai l'impression que le contacte ne passe pas vraiment entre eux deux. MeïDeï reste assez en retrait et ne va pas vraiment vers Ysobel qui elle, n'attend que ca, une amie à quatre pattes pour lier une réelle amitié. C'est pour cela que je tente de les rapprocher en longeant assez souvent la petite bai en compagnie d'Ysobel. Ceci pour les rapprocher mais aussi pour enseigner les choses à la petite fille qui ne connait pas tout du monde des chevaux. Ceci est important pour créer une amitié avec un cheval. C'est pour cela que je lui aie enseigner avant toute chose : le respect. Le respect de son cheval est la base de tout. C'est ce qui fait la relation que j'ai avec Mystral. J'espère alors qu'avec temps, la ponette sera moins rétive et ira plus vers ma petite brune...
Bon, et entre la ponette bai et les deux quarterhorse, j'ai craquée pour une jument. En fait elle m'a été offerte par une amie que j'apprécie vraiment. Elle s'appelle Fligyrl de Sherwood et vient de l'élevage de Sherwood. C'est une IrishCob qui est vraiment très belle, en tout cas, à mes yeux !
Je suis vraiment ravie d'avoir une deuxième IrishCob de cet élevage à la maison. J'étais déjà très satisfaite de ma petite Tywelda, que j'aime beaucoup. Mais Fligyrl, me procurait un tout autre sentiment que je n'avais pas avec mes deux autres juments. Je sais c'est étrange car chaque chevaux que je possède m'offrent un sentiment nouveau et différent, des sensations différentes et un amour différent pour chacune de mes juments. Je ne pouvais pas l'expliquer et ceci, était d'ailleurs bien étrange à moi-même. Mais je les aimais beaucoup. Et Fligyrl avait ce petit truc bien à elle qui me faisait battre mon cœur à chaque fois que je l'a montait. Elle avait vraiment de superbes allures et des déplacements dignes d'une reine. Et malgré qu'elle n'était pas extrêmement fan des câlins et autres, j'adorais passer du temps avec elle, et elle semblait tout autant apprécier ces moments. Je ne savais pas trop encore vers quelle discipline j'allais l'a conduire, mais vu ses allures et sa facilité à apprendre, je pense qu'elle goûtera à pas mal d'activités.
Je suis vraiment ravie d'avoir une deuxième IrishCob de cet élevage à la maison. J'étais déjà très satisfaite de ma petite Tywelda, que j'aime beaucoup. Mais Fligyrl, me procurait un tout autre sentiment que je n'avais pas avec mes deux autres juments. Je sais c'est étrange car chaque chevaux que je possède m'offrent un sentiment nouveau et différent, des sensations différentes et un amour différent pour chacune de mes juments. Je ne pouvais pas l'expliquer et ceci, était d'ailleurs bien étrange à moi-même. Mais je les aimais beaucoup. Et Fligyrl avait ce petit truc bien à elle qui me faisait battre mon cœur à chaque fois que je l'a montait. Elle avait vraiment de superbes allures et des déplacements dignes d'une reine. Et malgré qu'elle n'était pas extrêmement fan des câlins et autres, j'adorais passer du temps avec elle, et elle semblait tout autant apprécier ces moments. Je ne savais pas trop encore vers quelle discipline j'allais l'a conduire, mais vu ses allures et sa facilité à apprendre, je pense qu'elle goûtera à pas mal d'activités.
Et en parlant d'activité, j'avais remarqué qu'un concours de western avait lieu dans les temps à venir. Comme ma jument avait acquis de réelles compétences dans ce domaine, je me suis alors dis que je pourrais y participer. Ceci changerait un peu des concours de CSO ou de dressage. Je passais alors du temps à entraîner Mystral à des reprises de pleasure. Je trouvais ca vraiment marrant la différence qu'il pouvait y avoir entre la monte classique et la monte western. Même le confort de la selle était bien différente. Mais ce que je trouvais encore plus marrant, c'était ma jument qui s'adaptait vraiment aux allures de chevaux américains. Avant de l'a seller western, c'était une jument dite "normale" et dès que je posais la selle western, c'était devenue une petite quarterhorse. Elle était incroyable !
Bien sur, Mystral et moi, n'étions pas seules lors de ces séances. Sa fille Balkö n'était jamais bien loin de maman même si cette petite était largement en âge de ne plus suivre les pas de sa mère. Balkö avait à présent environ 9 mois et devenait une grande petite pouliche. Avec pleins d'énergie... Quand je montais sa mère, elle, elle gambadait autour de la carrière quand elle ne faisait pas une petite apparition au beau milieu des jambes de maman. C'était pas toujours pratique pour travailler correctement. Mais avec le temps, la pouliche comprenait les choses et passait alors plus de temps à farfouiller à droite et gauche pendant que maman travaillait. Elle se dépensait à volonté et madame, avait deux spectateurs : Californie et Krocna. Les deux retraités devaient se demander ce qu'était cette petite chose grise qui courait partout et qui prenait parfois le temps de les regarder à son tour. Sacrée Balkö...
Les derniers arrivés, donc nos retraités, se sont visiblement bien adaptés aux lieux du refuge. Et j'en suis évidemment très contente. Voir ces deux premiers pensionnaires en retraites en bonne santé moral comme physique, c'était une vraie réussite pour moi.
Il arrivait régulièrement de les sortir pour n'importe quelle tâche à faire ; les panser, les balader, les soigner etc. D'ailleurs Ysobel prenait plaisir à aller les voir chaque jours pour savoir comment ils allaient mais aussi pour s'en occuper. Comme avec sa ponnette MeïDeï, le contacte était toujours fragile, elle se retournait vers des chevaux avec moins de caractère et donc, vers les deux vieux. C'est vrai que les deux QuarterHorse avaient vu pas mal de choses au court de leur vie mais aussi pas mal de monde, alors une jeune fillette qui s'occupait d'eux, étant de loin dérangeant pour eux. Bien au contraire.
Marianne aimait également aller les voir même si elle s'en occupait moins que Ysobel ou moi, elle préférait être avec Alwyn et c'est une chose que je comprenais tout à fait. D'ailleurs elle n'était pas là pour travailler auprès des animaux en retraites.
Marianne passait pas mal de temps au téléphone et j'avais compris qu'elle discutait avec son homme Robin. Un soir, elle m'avait proposé une balade sur Krocna et Californie. Je sentais qu'elle voulait me dire un truc lors de cette balade. J'avais donc accepté et même sans ca, une balade en compagnie de Marianne était toujours agréable.
Et je n'avais pas loupé la chose. En effet elle m'avait parlé qu'il serait peut-être temps pour elle de rentrer et de reprendre son activité avec son élevage. A ce moment et sans le penser, j'avais eu une boule au ventre. Je m'étais attachée à elle. Bien sur, je ne pouvais pas la retenir, elle avait raison, il fallait bien qu'elle retouche chez elle un jour. Et ce jour était arrivé.
Elle avait vu que j'étais un peu peinée et pour éviter cela, elle m'avait conduit dans des chemins, champs, etc qu'elle avait découvert lors de ses multiples balades avec Alwyn. En effet, c'était vraiment joli, moi qui n'avais pas trop le temps de découvrir les environs avec les travaux et les concours qui arrivaient.
Il arrivait régulièrement de les sortir pour n'importe quelle tâche à faire ; les panser, les balader, les soigner etc. D'ailleurs Ysobel prenait plaisir à aller les voir chaque jours pour savoir comment ils allaient mais aussi pour s'en occuper. Comme avec sa ponnette MeïDeï, le contacte était toujours fragile, elle se retournait vers des chevaux avec moins de caractère et donc, vers les deux vieux. C'est vrai que les deux QuarterHorse avaient vu pas mal de choses au court de leur vie mais aussi pas mal de monde, alors une jeune fillette qui s'occupait d'eux, étant de loin dérangeant pour eux. Bien au contraire.
Marianne aimait également aller les voir même si elle s'en occupait moins que Ysobel ou moi, elle préférait être avec Alwyn et c'est une chose que je comprenais tout à fait. D'ailleurs elle n'était pas là pour travailler auprès des animaux en retraites.
Marianne passait pas mal de temps au téléphone et j'avais compris qu'elle discutait avec son homme Robin. Un soir, elle m'avait proposé une balade sur Krocna et Californie. Je sentais qu'elle voulait me dire un truc lors de cette balade. J'avais donc accepté et même sans ca, une balade en compagnie de Marianne était toujours agréable.
Et je n'avais pas loupé la chose. En effet elle m'avait parlé qu'il serait peut-être temps pour elle de rentrer et de reprendre son activité avec son élevage. A ce moment et sans le penser, j'avais eu une boule au ventre. Je m'étais attachée à elle. Bien sur, je ne pouvais pas la retenir, elle avait raison, il fallait bien qu'elle retouche chez elle un jour. Et ce jour était arrivé.
Elle avait vu que j'étais un peu peinée et pour éviter cela, elle m'avait conduit dans des chemins, champs, etc qu'elle avait découvert lors de ses multiples balades avec Alwyn. En effet, c'était vraiment joli, moi qui n'avais pas trop le temps de découvrir les environs avec les travaux et les concours qui arrivaient.
Le courant entre la petite ponnette et la petite jeune fille, avait vraiment du mal à s'établir. Pourtant, l'envie d'Ysobel était belle et bien là. C'est elle qu'elle voulait comme monture et pas une autre. Elle ne comptait pas lâcher prise.
Ysobel passait alors pas mal de temps avec la petite bai pour qu'elles apprennent à se connaitre et surtout, tenter de créer une confiance entre les deux êtres. Pas facile. MeïDeï restait assez souvent sur ses gardes malgré que l'on faisait tout pour la rassurer et la mettre en confiance. C'était peut-être dans sa nature. Mais je sentais bien que ma petite protégée commençait à avoir un peu de peine face à une ponnette qui ne s'ouvre pas à sa cavalière. Marianne m'avait alors proposé de l'emmener avec elle, chez elle, pour tenter de travailler cela dans d'autres lieux. Le problème venait peut-être de là : les lieux. Elle m'avait proposé cela lors de la balade avec les deux QuarterHorse. A ce moment là, j'avais été encore plus peiné. Ysobel n'était pas ma fille, mais je l'a considérais comme. Mais après réflexion, Marianne n'avait certainement pas tors. Il fallait tenter le coup. Ceci pourrait peut-être faire du bien à la ponnette comme à Ysobel. Voir d'autres choses, d'autres horizons était une bonne idée.
Mais en attendant leur départ, Ysobel essayait toujours de mettre en confiance MeïDeï en passant un long moment à l'a panser avant de l'a monter les conseils Marianne et moi.
Ysobel passait alors pas mal de temps avec la petite bai pour qu'elles apprennent à se connaitre et surtout, tenter de créer une confiance entre les deux êtres. Pas facile. MeïDeï restait assez souvent sur ses gardes malgré que l'on faisait tout pour la rassurer et la mettre en confiance. C'était peut-être dans sa nature. Mais je sentais bien que ma petite protégée commençait à avoir un peu de peine face à une ponnette qui ne s'ouvre pas à sa cavalière. Marianne m'avait alors proposé de l'emmener avec elle, chez elle, pour tenter de travailler cela dans d'autres lieux. Le problème venait peut-être de là : les lieux. Elle m'avait proposé cela lors de la balade avec les deux QuarterHorse. A ce moment là, j'avais été encore plus peiné. Ysobel n'était pas ma fille, mais je l'a considérais comme. Mais après réflexion, Marianne n'avait certainement pas tors. Il fallait tenter le coup. Ceci pourrait peut-être faire du bien à la ponnette comme à Ysobel. Voir d'autres choses, d'autres horizons était une bonne idée.
Mais en attendant leur départ, Ysobel essayait toujours de mettre en confiance MeïDeï en passant un long moment à l'a panser avant de l'a monter les conseils Marianne et moi.
Deux jours plus tard, Marianne profitait d'un soir relativement agréable niveau chaleur pour faire une dernière balade avec son cheval qu'elle appréciait tant ; Alwyn. Ce soir là, elle avait passé pas mal de temps à bichonner l'hongre. Il brillait comme un sous neuf et je le lui avais fait remarqué avec une blague au moment de nourrir les chevaux au box. Elle avait souris à ma bêtise mais n'avait pas plus relevée mes paroles. A ce moment là, j'avais un doute sur le fait qu'elle soit vraiment prête à repartir chez elle. Je me faisais ptete des idées.
Au moment où je rangeais le seau qui m'avait servis à nourrir les chevaux, elle avait enfourché Alwyn et s'était dirigée vers la nature pour profiter encore une fois de l'air pur des environs.
Au petit matin, ma maison aux multiples pièces, était vide. Les filles venaient de partir avec la ponnette MeïDeï. Pour la première fois de ma vie après la disparition de ma mère, je me sentais seule, vraiment seule. Mais chevaux étaient bien là mais il me manquait... quelque chose... de la compagnie. Je n'avais donc pas perdu de temps pour prendre mon téléphone et appeler mon Robin à moi, mon copain. Mais si j'avais su...
Au petit matin, ma maison aux multiples pièces, était vide. Les filles venaient de partir avec la ponnette MeïDeï. Pour la première fois de ma vie après la disparition de ma mère, je me sentais seule, vraiment seule. Mais chevaux étaient bien là mais il me manquait... quelque chose... de la compagnie. Je n'avais donc pas perdu de temps pour prendre mon téléphone et appeler mon Robin à moi, mon copain. Mais si j'avais su...
J'étais heureuse de prendre mon téléphone en main pour appeler mon homme, qui me manquait et que je n'avais pas vu depuis un bon moment. Cependant j'eu une très bonne surprise au bout du fil... C'était une voix de femme qui avait décroché. Durant les premières secondes, je me doutais de rien. Après tout, il pouvait avoir une copine chez lui ou un truc du genre. Mais quand j'entendis "mon fiancé" je compris que Robin m'avait totalement oublié.. C'est vrai que ca faisait un moment qu'on ne s'était pas donné de nouvelles mais ce n'était pas pour autant que j'avais été voir ailleurs. Comme quoi, les promesses étant jeunes ne tiennent pratiquement jamais. Ceci dis, celles des adultes non plus. Les gens avaient beaucoup de mal à tenir leurs promesses de nos jours...
J'avais tout simplement raccroché et posé mon téléphone portable sur mon bureau. Je posais mon regard sur Oblet qui mordillait je ne sais trop quoi dans son panier. J'eu une larme qui m'échappa et aussitôt, mon renard me lança un regard des plus réconfortant. Je me sentais seule.
Il était plus de 23h, il était tant d'aller me coucher pour essayer de dormir. Mais je me sentais seule...
Au petit matin, je me levai avec des petits yeux, et avec des yeux qui me brûlaient un peu. Oui, je n'avais pas pu m'empêcher de pleurer au moins un peu. Si hier en me couchant, j'étais triste, ce matin, j'étais en colère. Il fallait que je me défoule.
Je ne perdis donc pas de temps pour enfiler mes vêtements d'équitation et d'aller voir mes juments. J'avais besoin de sensations fortes avec une jument en capacité de m'en donner. Je savais très bien que Tywelda ferait parfaitement l'affaire pour ca.
Malgré ma colère et mon envie de m'évader, j'avais pansé et sellé ma jument avec soins pour enfin l'a mener vers une carrière sur herbe. Elle me servait à monter des obstacles de cross et aujourd'hui, j'allais en profiter.
J'avais bien échauffé ma jument avant de me lancer sur de bons obstacles.
J'avais tout simplement raccroché et posé mon téléphone portable sur mon bureau. Je posais mon regard sur Oblet qui mordillait je ne sais trop quoi dans son panier. J'eu une larme qui m'échappa et aussitôt, mon renard me lança un regard des plus réconfortant. Je me sentais seule.
Il était plus de 23h, il était tant d'aller me coucher pour essayer de dormir. Mais je me sentais seule...
Au petit matin, je me levai avec des petits yeux, et avec des yeux qui me brûlaient un peu. Oui, je n'avais pas pu m'empêcher de pleurer au moins un peu. Si hier en me couchant, j'étais triste, ce matin, j'étais en colère. Il fallait que je me défoule.
Je ne perdis donc pas de temps pour enfiler mes vêtements d'équitation et d'aller voir mes juments. J'avais besoin de sensations fortes avec une jument en capacité de m'en donner. Je savais très bien que Tywelda ferait parfaitement l'affaire pour ca.
Malgré ma colère et mon envie de m'évader, j'avais pansé et sellé ma jument avec soins pour enfin l'a mener vers une carrière sur herbe. Elle me servait à monter des obstacles de cross et aujourd'hui, j'allais en profiter.
J'avais bien échauffé ma jument avant de me lancer sur de bons obstacles.
Tywelda, fidèle à son caractère de ptite nerveuse et à son sang chaud, m'avait belle et bien offert des bonnes sensations. Cependant, même après une bonne heure de saut, cela ne me suffisait pas.
Je descendis alors de cheval pour remonter sur un autre. Mais cette fois c'était au tour de Fligyrl.
Fligyrl était une jument assez indépendante et elle pouvait avoir des moments de calme ou encore des moments avec pas mal de vivacité. Aujourd'hui, elle était bien réveillée et c'était parfait pour me refaire une séance de saut. D'ailleurs, c'était certainement peut-être la première fois que je l'a testais sur des barres aussi hautes. Elle avait un bon coup de saut et cela me plaisait beaucoup. De plus, elle savait laisser apparaître une certaine aisance dans ces déplacements ce qui l'a rendait vraiment belle à regarder.
Je fis de nouveau une bonne heure de saut avec elle en étant un peu plus posée car Fligyrl m'avait fait découvrir de nouvelles petites sensations que je n'avais pas vraiment connu avec d'autres chevaux. Comme quoi, chaque chevaux est bien différents, même au moins un peu.
Je descendis alors de cheval pour remonter sur un autre. Mais cette fois c'était au tour de Fligyrl.
Fligyrl était une jument assez indépendante et elle pouvait avoir des moments de calme ou encore des moments avec pas mal de vivacité. Aujourd'hui, elle était bien réveillée et c'était parfait pour me refaire une séance de saut. D'ailleurs, c'était certainement peut-être la première fois que je l'a testais sur des barres aussi hautes. Elle avait un bon coup de saut et cela me plaisait beaucoup. De plus, elle savait laisser apparaître une certaine aisance dans ces déplacements ce qui l'a rendait vraiment belle à regarder.
Je fis de nouveau une bonne heure de saut avec elle en étant un peu plus posée car Fligyrl m'avait fait découvrir de nouvelles petites sensations que je n'avais pas vraiment connu avec d'autres chevaux. Comme quoi, chaque chevaux est bien différents, même au moins un peu.
Je venais de passer deux bonnes heures à dos de cheval pour me défouler et pour tenter d'oublier ma solitude et d'oublier Robin. Attention, il vrai que je passais mes nerfs aux travers mes juments, mais en aucuns cas je cherchais à les épuiser. Je rester consciente que mes chevaux étaient des chevaux avant tout et qu'au fond, ils n'étaient en aucun cas responsable de tout ca.
Mais j'avais toujours cette sensation de colère en moi qui ne semblait pas vouloir me quitter pour le moment. Me connaissant, je savais que je ne pouvais pas rester comme ca. Surtout que j'avais des chances de passer ma colère aux travers mes pouvoirs et là, j'avais un peu peur de faire une bêtise... Alors je me tournai vers Mystral pour une dernière tentative à calmer mes nerfs.
Cette fois, je n'allais pas faire du saut, mais m'évader dans la nature. J'étais alors partis au galop tout en laissant les rênes libres à ma jument. Elle savait très bien ce dont j'avais besoin et je lui faisais confiance pour ca. Elle prit alors les directives et moi, je n'avais plus qu'à me laisser guider et laisser mon esprit s'échapper durant cette galopade.
Je n'avais vraiment aucun contrôle sur Mystral. Elle allait où elle le souhaitait et cette jument était vraiment incroyable, elle avait réussi à me faire tout oublier en me faisant passer dans des endroits plutôt très beaux..
On galopait à travers les forêts, les champs etc... Et bien sur, ce n'était pas sans ma petite Balkö qui suivait derrière.
Mais j'avais toujours cette sensation de colère en moi qui ne semblait pas vouloir me quitter pour le moment. Me connaissant, je savais que je ne pouvais pas rester comme ca. Surtout que j'avais des chances de passer ma colère aux travers mes pouvoirs et là, j'avais un peu peur de faire une bêtise... Alors je me tournai vers Mystral pour une dernière tentative à calmer mes nerfs.
Cette fois, je n'allais pas faire du saut, mais m'évader dans la nature. J'étais alors partis au galop tout en laissant les rênes libres à ma jument. Elle savait très bien ce dont j'avais besoin et je lui faisais confiance pour ca. Elle prit alors les directives et moi, je n'avais plus qu'à me laisser guider et laisser mon esprit s'échapper durant cette galopade.
Je n'avais vraiment aucun contrôle sur Mystral. Elle allait où elle le souhaitait et cette jument était vraiment incroyable, elle avait réussi à me faire tout oublier en me faisant passer dans des endroits plutôt très beaux..
On galopait à travers les forêts, les champs etc... Et bien sur, ce n'était pas sans ma petite Balkö qui suivait derrière.
D'ailleurs cette petite avait une bonne endurance car elle avait réussi à suivre sans soucis les traces de sa mère.
Deux trois jours s'étaient écoulés et durant ce temps, ma petite sœur m'avait appelé pour me demander un service. Elle m'avait raconté les dernières nouvelles et notamment la dépression de Ian. Si à présent j'avais le droit d'être en contacte avec eux, je n'avais cependant toujours pas le droit de les voir. Tell voulait toujours jouer la sécurité par rapport à mes dons. Ce que je comprenais mais ma famille me manquait...
Amanda m'avait donc fait part des changements au domaine et souhaitait m'envoyer Frist Time en retraite suite à une blessure. Je n'avais bien sur pas refusé cela. Elle m'avait également fait comprendre qu'elle voulait apporter un petit plus à son élevage et m'avait demandé un autre service. Pour conclure, on avait finis par faire un échange de cheval.
Deux trois jours s'étaient écoulés et durant ce temps, ma petite sœur m'avait appelé pour me demander un service. Elle m'avait raconté les dernières nouvelles et notamment la dépression de Ian. Si à présent j'avais le droit d'être en contacte avec eux, je n'avais cependant toujours pas le droit de les voir. Tell voulait toujours jouer la sécurité par rapport à mes dons. Ce que je comprenais mais ma famille me manquait...
Amanda m'avait donc fait part des changements au domaine et souhaitait m'envoyer Frist Time en retraite suite à une blessure. Je n'avais bien sur pas refusé cela. Elle m'avait également fait comprendre qu'elle voulait apporter un petit plus à son élevage et m'avait demandé un autre service. Pour conclure, on avait finis par faire un échange de cheval.
Dès l'arrivée de l'entier, j'avais regardé sa blessure à la jambe. Ce n'était pas hyper grave mais en effet, il allait devoir être en repos pour un bon bout de temps... Je l'avais soigneusement installé dans son pré pour qu'il profite au maximum de sa retraite.
Quelques autres jours s'étaient écoulés. Je commençais à avaler la pilule pour Robin. D'ailleurs, il avait tenté de me joindre pour tenter de s'expliquer. Il n'y avait plus rien à dire et je lui avais fait comprendre cela. C'était finis, point.
Fallait que je m'occupe l'esprit et pour cela, je m'étais concoctée un petit endroit pour faire un petit jardin avec de bons fruits et légumes. J'y passais pas mal de temps et cela me plaisait. Je me laissais croire qu'à terme, j'aurai une bonne main verte. Et d'ailleurs, parfois je trichais un peu avec mes pouvoirs. Il m'arrivais de donner un coup de pouce aux plantes qui semblaient... un peu malades. Je les ravivais avec ma magie.
Je n'étais pas forcément hyper douée avec les plantes, mais des fois... j'étais un peu aidé par Balkö qui avait pris la sale manie de s'échapper de son pré. Et je ne savais pas comment elle arrivait à sortir de la clôture. Elle en profitait donc pour se balader à droite et gauche toute en restant prêt de la maison et parfois ... je l'a retrouvais dans mon petit potager à grignoter mes légumes... Quand je l'appelais elle redressait la tête l'air de dire " c'est pas moi, je suis là mais je suis pas là". Dans le fond elle me faisait rire mais moins pour mes ptites plantes.
Quelques autres jours s'étaient écoulés. Je commençais à avaler la pilule pour Robin. D'ailleurs, il avait tenté de me joindre pour tenter de s'expliquer. Il n'y avait plus rien à dire et je lui avais fait comprendre cela. C'était finis, point.
Fallait que je m'occupe l'esprit et pour cela, je m'étais concoctée un petit endroit pour faire un petit jardin avec de bons fruits et légumes. J'y passais pas mal de temps et cela me plaisait. Je me laissais croire qu'à terme, j'aurai une bonne main verte. Et d'ailleurs, parfois je trichais un peu avec mes pouvoirs. Il m'arrivais de donner un coup de pouce aux plantes qui semblaient... un peu malades. Je les ravivais avec ma magie.
Je n'étais pas forcément hyper douée avec les plantes, mais des fois... j'étais un peu aidé par Balkö qui avait pris la sale manie de s'échapper de son pré. Et je ne savais pas comment elle arrivait à sortir de la clôture. Elle en profitait donc pour se balader à droite et gauche toute en restant prêt de la maison et parfois ... je l'a retrouvais dans mon petit potager à grignoter mes légumes... Quand je l'appelais elle redressait la tête l'air de dire " c'est pas moi, je suis là mais je suis pas là". Dans le fond elle me faisait rire mais moins pour mes ptites plantes.
Cependant, ce jour là, je m'étais réellement fâchée car elle m'avait saccagé un pied de tomates.. Je l'avais reconduite encore une fois dans son pré et comme on arrivait en fin de journée, j'en profitais pour aller nourrir les chevaux et rentrer ceux qui ne dormaient pas dehors.
Et en allant voir Alwyn, "quelque chose" me frappant et me laissa pratiquement bouche B.
Et en allant voir Alwyn, "quelque chose" me frappant et me laissa pratiquement bouche B.
Quand je suis venue voir Alwyn, je suis tombée sur quelqu'un qui dormait paisiblement sur une botte de foin dans le box de l'hongre. Visiblement il dormait bien car le fait d'entendre le cheval brouter la paille ne le dérangeait pas. J'étais vraiment étonnée de voir un jeune garçon se retrouver dans l'uns de mes bâtiments entrain de dormir. De plus, on pouvait clairement voir que ses vêtements étaient sales et déchirés. D'où venait-il ?
Il ne devait pas si bien dormir que ca, car en m'avançant, le bruit de mes chaussures à talons touchant le sol le fit sursauter. Quand il m'apercu, il se redressa immédiatement et ne cessait de s'excuser de s'être introduis chez moi. Il semblait vraiment gêné et cherchait un endroit pour se sauver. Cependant, il était dans le box d'Alwyn qui ne possédait qu'une seule sortie. Et j'étais devant. Je n'avais pas d'autre choix que de le rassurer de lui demander de se calmer afin qu'il me dise ce qui l'avait mené jusque là.
- Le jeune homme : Je n'ai plus de toit, mes parents sont morts dans un incendie.
- Moi : Comment ca tes parents sont morts dans un incendie ? Personne ne te cherche ? Tu as quel âge ? Comment t'appelles-tu ?
- Le jeune homme : Je viens de prendre 17 ans. Mes parents sont morts il y a un mois. Et je m'appelle Thomas.
Mon étonnement ne cessait de s'accroître. Un mois que ses parents sont décédés et que ce jeune homme de 17 ans a disparu mais visiblement cela ne dérange personne.
Plus je le rassurais plus il se confiait à moi. Ce qui d'un côté, m'étonnait aussi car il ne me connaissait pas. Bien que mon bute était justement qu'il se confit pour que je comprenne mieux certaines choses mais, il n'avait pas peur de dire les choses et ce qui lui était arrivé.
Il avait finis par me dire que ses parents détenaient une grande écurie dans les montagnes reculées de tout et difficile d'accès. Les secours n'étaient donc jamais arrivés... Etant le seul survivant, il n'avait pas eu le choix que de quitter les lieux. N'ayant plus rien...
Il revenait de très loin et avait voyagé tout ce temps.. Jusqu'à tant qu'il tombe sur une maison où s'abriter. Et il était tombé sur la mienne, qui elle aussi, était plutôt reculé de tout, mais qui était tout de même accessible.
Vu son histoire et les circonstances, je ne pouvais pas le chasser et cela était inimaginable pour moi. Je lui proposai donc de passer la nuit ici. J'avais des chambres de libres, alors autant qu'elles servent à quelque chose.
Il ne devait pas si bien dormir que ca, car en m'avançant, le bruit de mes chaussures à talons touchant le sol le fit sursauter. Quand il m'apercu, il se redressa immédiatement et ne cessait de s'excuser de s'être introduis chez moi. Il semblait vraiment gêné et cherchait un endroit pour se sauver. Cependant, il était dans le box d'Alwyn qui ne possédait qu'une seule sortie. Et j'étais devant. Je n'avais pas d'autre choix que de le rassurer de lui demander de se calmer afin qu'il me dise ce qui l'avait mené jusque là.
- Le jeune homme : Je n'ai plus de toit, mes parents sont morts dans un incendie.
- Moi : Comment ca tes parents sont morts dans un incendie ? Personne ne te cherche ? Tu as quel âge ? Comment t'appelles-tu ?
- Le jeune homme : Je viens de prendre 17 ans. Mes parents sont morts il y a un mois. Et je m'appelle Thomas.
Mon étonnement ne cessait de s'accroître. Un mois que ses parents sont décédés et que ce jeune homme de 17 ans a disparu mais visiblement cela ne dérange personne.
Plus je le rassurais plus il se confiait à moi. Ce qui d'un côté, m'étonnait aussi car il ne me connaissait pas. Bien que mon bute était justement qu'il se confit pour que je comprenne mieux certaines choses mais, il n'avait pas peur de dire les choses et ce qui lui était arrivé.
Il avait finis par me dire que ses parents détenaient une grande écurie dans les montagnes reculées de tout et difficile d'accès. Les secours n'étaient donc jamais arrivés... Etant le seul survivant, il n'avait pas eu le choix que de quitter les lieux. N'ayant plus rien...
Il revenait de très loin et avait voyagé tout ce temps.. Jusqu'à tant qu'il tombe sur une maison où s'abriter. Et il était tombé sur la mienne, qui elle aussi, était plutôt reculé de tout, mais qui était tout de même accessible.
Vu son histoire et les circonstances, je ne pouvais pas le chasser et cela était inimaginable pour moi. Je lui proposai donc de passer la nuit ici. J'avais des chambres de libres, alors autant qu'elles servent à quelque chose.
Je l'avais donc mené à une chambre de mon orphelinat.
Je lui avais également fais visiter le haut de la maison afin qu'il puisse se doucher et se sentir propre, avec un vraie douche. Je lui avais posé des affaires pour qu'il puisse dormir dans de vêtements propres mais aussi pour qu'il puisse s'habiller demain matin...dans des vêtements propres... Dans sa chambre, il avait de quoi se retrouver et se détendre.
C'est après un bon repas pour lui, que Thomas fila dans sa chambre pour se jeter sur le lit et s'endormir comme une marmotte.
De mon côté, je devais chercher des informations sur ces écuries dont il m'avait parlé. Mais aussi chercher pourquoi sa disparition ne perturbait personne même pas sa famille. Bien sur, ce n'était pas sur le net que j'allais trouver des informations personnelles à son sujet. Je n'avais que trouvé quelques détails sur ses parents et donc leur écurie. Qui était orientée vers le dressage. Ils n'élevaient pas de race mais travaillaient qu'avec des chevaux de dressages pur et dur.
C'est après un bon repas pour lui, que Thomas fila dans sa chambre pour se jeter sur le lit et s'endormir comme une marmotte.
De mon côté, je devais chercher des informations sur ces écuries dont il m'avait parlé. Mais aussi chercher pourquoi sa disparition ne perturbait personne même pas sa famille. Bien sur, ce n'était pas sur le net que j'allais trouver des informations personnelles à son sujet. Je n'avais que trouvé quelques détails sur ses parents et donc leur écurie. Qui était orientée vers le dressage. Ils n'élevaient pas de race mais travaillaient qu'avec des chevaux de dressages pur et dur.
Il se faisait tard. Je n'avais rien trouvé au sujet de Thomas mais je comptais bien appeler les services sociaux pour tenter de trouver quelques choses. Mais je ferai cela que demain. Il était temps de se coucher.
Au petit matin, je ne vis pas Thomas avant les 11h. Il devait être fatigué, alors je le laissais se reposer comme il se devait. Mais au moment où je pris le téléphone en main, il fit son apparition et avait aussitôt pris un air inquiet.
- Thomas : Non ! S'il vous plait ! N'appelez personne ! Je ne veux pas qu'on sache que je suis là et vivant. Si ca se sait je vais devoir être placé en adoption ou encore chez des gens méchants...
- Moi : Thomas, pourquoi tu me dis cela ? Il faut bien qu'on sache que tu es en vie, que tu vas bien. Et pourquoi tu parles d'adoption ? Tu as été adopté ?
- Thomas : Oui... Je n'ai fais que voyager de foyer en foyer et là, avec mes derniers parents adoptifs, j'étais bien chez eux. Les chevaux me redonnaient goût à la vie...
Je compris aussitôt la détresse de ce jeune homme. Mais ce qu'il ne savait pas, c'est qu'il était tombé dans un orphelinat. Je lui avais dis qu'il pouvait rester quelques jours ici, le temps que je m'occupe de tout ca.
Quelques jours venaient de passer et grâce à mon statue, j'avais pu faire en sorte de garder Thomas auprès de moi et dans une maison où il ne craindrait rien. Il restait encore beaucoup de papiers à faire et à changer mais cela, devenait mon quotidien et donc une habitude. On avait également déclaré l'incendie de ses parents adoptifs afin qu'une enquête soit menée. Et d'après cette dernière, se serait un accident.
D'autres jours venaient de s'achever. Certainement 3 à 4 mois. En faite le temps passait super vite.
J'avais régulièrement des nouvelles d'Ysobel et de MeïDeï. Tout se passait bien et son retour n'allait pas tarder à avoir lieux.
En attendant, j'apprenais à connaitre Thomas et lui, à me connaitre. Et je voyais qu'il s'y connaissait plutôt bien avec les chevaux. Il m'aidait pas mal à m'en occuper, à les sortir et tout ce qui s'en suivait. Et je voyais qu'il avait envie de monter à cheval mais qu'il n'osait pas me le demander. Un jour d'automne, je lui avais proposé de monter Alwyn. Thomas semblait bien l'aimer et passait quelque temps en sa compagnie. Bien sur, il avait accepté.
Et en effet, Thomas n'était pas novice à cheval. Il maîtrisait très bien le dressage.
Au petit matin, je ne vis pas Thomas avant les 11h. Il devait être fatigué, alors je le laissais se reposer comme il se devait. Mais au moment où je pris le téléphone en main, il fit son apparition et avait aussitôt pris un air inquiet.
- Thomas : Non ! S'il vous plait ! N'appelez personne ! Je ne veux pas qu'on sache que je suis là et vivant. Si ca se sait je vais devoir être placé en adoption ou encore chez des gens méchants...
- Moi : Thomas, pourquoi tu me dis cela ? Il faut bien qu'on sache que tu es en vie, que tu vas bien. Et pourquoi tu parles d'adoption ? Tu as été adopté ?
- Thomas : Oui... Je n'ai fais que voyager de foyer en foyer et là, avec mes derniers parents adoptifs, j'étais bien chez eux. Les chevaux me redonnaient goût à la vie...
Je compris aussitôt la détresse de ce jeune homme. Mais ce qu'il ne savait pas, c'est qu'il était tombé dans un orphelinat. Je lui avais dis qu'il pouvait rester quelques jours ici, le temps que je m'occupe de tout ca.
Quelques jours venaient de passer et grâce à mon statue, j'avais pu faire en sorte de garder Thomas auprès de moi et dans une maison où il ne craindrait rien. Il restait encore beaucoup de papiers à faire et à changer mais cela, devenait mon quotidien et donc une habitude. On avait également déclaré l'incendie de ses parents adoptifs afin qu'une enquête soit menée. Et d'après cette dernière, se serait un accident.
D'autres jours venaient de s'achever. Certainement 3 à 4 mois. En faite le temps passait super vite.
J'avais régulièrement des nouvelles d'Ysobel et de MeïDeï. Tout se passait bien et son retour n'allait pas tarder à avoir lieux.
En attendant, j'apprenais à connaitre Thomas et lui, à me connaitre. Et je voyais qu'il s'y connaissait plutôt bien avec les chevaux. Il m'aidait pas mal à m'en occuper, à les sortir et tout ce qui s'en suivait. Et je voyais qu'il avait envie de monter à cheval mais qu'il n'osait pas me le demander. Un jour d'automne, je lui avais proposé de monter Alwyn. Thomas semblait bien l'aimer et passait quelque temps en sa compagnie. Bien sur, il avait accepté.
Et en effet, Thomas n'était pas novice à cheval. Il maîtrisait très bien le dressage.
Visiblement, en ce moment je ne voyais pas trop passer le temps. Un mois de plus venait de s'écouler.
Marianne m'avait appelé pour me donner de ses nouvelles mais aussi celles de ma petite Ysobel. De plus elle m'avait précisé la date de billet du retour de la petite fille. J'étais vraiment heureuse de savoir qu'elle allait enfin revenir. Je n'aurais jamais cru, mais elle m'avait manqué. Elle me manquait.
Le jour J, j'étais allée la chercher à la gare avec Thomas qui était plutôt curieux de rencontrer sa camarade de l'orphelinat.
Ysobel était à peine descendue du train que je l'avais serré dans mes bras. Elle semblait tout aussi heureuse de me revoir. Nous étions rentrés à la maison. Ysobel était vraiment contente d'être rentrée mais n'avait pas cessé de me parler des écuries de Sherwood. J'en concluais qu'elle avait passé un bon séjour là bas et cela me réjouissais.
Plus tard dans la journée, c'était au tour de MeïDeï. Je devais aller la chercher dans une écurie voisine qui accueillait les chevaux/poneys à la réception d'un voyage. Un peu comme un point relais. D'ailleurs à l'entente de ce terme, j'avais plutôt rigolé. Bref tout le monde était de retour à la maison et j'avais l'impression que ma petite "famille" était au complet.
Au soir Thomas s'était installé dans son lit pour regarder la télé dans sa chambre alors qu'Ysobel et moi nous nous étions mises devant un dessin animé. Cependant... C'était plus le dessin animé qui regardait la jeune fille...
Marianne m'avait appelé pour me donner de ses nouvelles mais aussi celles de ma petite Ysobel. De plus elle m'avait précisé la date de billet du retour de la petite fille. J'étais vraiment heureuse de savoir qu'elle allait enfin revenir. Je n'aurais jamais cru, mais elle m'avait manqué. Elle me manquait.
Le jour J, j'étais allée la chercher à la gare avec Thomas qui était plutôt curieux de rencontrer sa camarade de l'orphelinat.
Ysobel était à peine descendue du train que je l'avais serré dans mes bras. Elle semblait tout aussi heureuse de me revoir. Nous étions rentrés à la maison. Ysobel était vraiment contente d'être rentrée mais n'avait pas cessé de me parler des écuries de Sherwood. J'en concluais qu'elle avait passé un bon séjour là bas et cela me réjouissais.
Plus tard dans la journée, c'était au tour de MeïDeï. Je devais aller la chercher dans une écurie voisine qui accueillait les chevaux/poneys à la réception d'un voyage. Un peu comme un point relais. D'ailleurs à l'entente de ce terme, j'avais plutôt rigolé. Bref tout le monde était de retour à la maison et j'avais l'impression que ma petite "famille" était au complet.
Au soir Thomas s'était installé dans son lit pour regarder la télé dans sa chambre alors qu'Ysobel et moi nous nous étions mises devant un dessin animé. Cependant... C'était plus le dessin animé qui regardait la jeune fille...
Au petit matin, tout le monde dormait. J'étais la seule à être debout de bonne heure et donc la seule à enfiler mes vêtements pour aller nourrir les chevaux. Cela ne me dérangeait point. Il ne faisait pas si chaud que ca ce matin là mais ce détail n'empêchait pas les chevaux de hennir en me voyant arriver avec les sceaux à granulés.
Une fois tout le monde nourris, je mettais certains chevaux au paddock afin qu'ils se dégourdissent les pattes. Et ce matin, j'avais tenté de mettre Alwyn avec MeïDeï. Je ne dis pas qu'ils ne s'entendaient pas bien mais ils n'avaient jamais été mis ensemble dans un pré alors c'était l'occasion de le faire. Et visiblement, ils s'entendaient plutôt très bien. Ils s'étaient lancés dans un petit galop et jouaient ensemble.
Une fois tout le monde nourris, je mettais certains chevaux au paddock afin qu'ils se dégourdissent les pattes. Et ce matin, j'avais tenté de mettre Alwyn avec MeïDeï. Je ne dis pas qu'ils ne s'entendaient pas bien mais ils n'avaient jamais été mis ensemble dans un pré alors c'était l'occasion de le faire. Et visiblement, ils s'entendaient plutôt très bien. Ils s'étaient lancés dans un petit galop et jouaient ensemble.
Plus tard dans la matinée, le ciel s'était dégagé et la température se réchauffait un peu plus. J'en avais donc profité pour enlever mon blouson afin de prendre un bain de soleil avec les quelques rayons que l'on pouvait apercevoir. Mais, je ne m'étais pas mise sur un transat pour cela. Non non, pas le temps aujourd'hui. J'avais réuni mes outils de jardinage afin d'aller récupérer les légumes bons pour la cueillette. Et bien sur, ce n'était pas sans mon compagnon de toujours, Oblet. Il ne changeait pas, toujours dans mes pattes. Bien que, en ce moment, je le voyais moins et s'échappait souvent dans les bois des environs. Monsieur devait certainement avoir à faire dans le coin.
Quelques jours plus tard, les deux voyageuses s'étaient parfaitement remises de leur voyage. Et Ysobel tenait plus que tout à me montrer ses prouesses en équitation. Ne pouvant pas la retenir dans son envie de me montrer son évolution, je m'étais changée en tenue d'équitation pour la suivre aux écuries.
Je pouvais déjà remarquer que la ponette était moins farouche envers Ysobel et cela était vraiment génial pour ma petite brune. Une fois MeïDeï sellée, Ysobel se hissa toute seule sur son dos et se lança dans quelques démonstrations. En effet le couple avait très bien évolué et semblait se faire assez confiance pour commencer à créer une certaine relation entre eux deux. De plus Ysobel montait super bien !
Je pouvais déjà remarquer que la ponette était moins farouche envers Ysobel et cela était vraiment génial pour ma petite brune. Une fois MeïDeï sellée, Ysobel se hissa toute seule sur son dos et se lança dans quelques démonstrations. En effet le couple avait très bien évolué et semblait se faire assez confiance pour commencer à créer une certaine relation entre eux deux. De plus Ysobel montait super bien !
Une fois pieds à terre, je lui apportai un pull car les journées se rafraîchissaient plutôt vite et ce n'était tout simplement plus l'époque de se balader en débardeur. Mademoiselle n'avait pas trop aimé mais elle avait tout de même enfilé son pull.
Sur le chemin du retour, on avait croisé un petit hérisson qui semblait quelque peu blessé. Bien sur, Ysobel voulait le prendre avec nous et le soigner. Ce n'était pas possible de laisser un petit animal sans défense dans la nature comme ca... Heureusement, j'avais conservé les cages que ma mère avait acheté pour ce type de petits animaux. Ysobel l'avait confortablement installé dans l'unes d'elles et était partis lui chercher de quoi le nourrir. En effet cette petite bête avait la patte cassée et j'avais profité de l'absence de la petite fille pour faire un tour de magie afin de le soigner. Heureusement pour moi, ma petite brune avait toujours gardé son côté "innocent" de la vie et n'avait rien remarqué.
Sur le chemin du retour, on avait croisé un petit hérisson qui semblait quelque peu blessé. Bien sur, Ysobel voulait le prendre avec nous et le soigner. Ce n'était pas possible de laisser un petit animal sans défense dans la nature comme ca... Heureusement, j'avais conservé les cages que ma mère avait acheté pour ce type de petits animaux. Ysobel l'avait confortablement installé dans l'unes d'elles et était partis lui chercher de quoi le nourrir. En effet cette petite bête avait la patte cassée et j'avais profité de l'absence de la petite fille pour faire un tour de magie afin de le soigner. Heureusement pour moi, ma petite brune avait toujours gardé son côté "innocent" de la vie et n'avait rien remarqué.
En effet les jours continuaient de passer et l'automne se refroidissaient de plus en plus. Le petit hérisson s'était très bien remis de sa patte cassée et dormait de plus en plus, voire même à hiberner. Oui cette année, il faisait plus froid que les années précédentes et on pouvait parfois apercevoir quelques flocons qui tombaient du ciel.
Si certaines chevaux se sentaient mieux au chaud dans leur box, d'autres semblaient aimer ces quelques tombés de flocons. Comme mon trio de juments qui ne cessait d'être en mouvement dont ma petite Balkö qui avait plutôt bien grandis...
Si certaines chevaux se sentaient mieux au chaud dans leur box, d'autres semblaient aimer ces quelques tombés de flocons. Comme mon trio de juments qui ne cessait d'être en mouvement dont ma petite Balkö qui avait plutôt bien grandis...
Ce matin, il faisait tout de même moins froid que les autres jours mais, la chaleur était de très loin présente. D'ailleurs certains des chevaux commençaient à dormir au box, pour les plus frileux. Les couvertures n'étaient pas encore de sorties mais pour certains, peut-être que ca n'allait pas tarder. Bien que la plus part son des chevaux plutôt robustes.
En attendant, il était l'heure de manger et visiblement, First semblait bien pressé d'attaquer son petit déjeuner. Le gourmand.
Sa blessure était de moins en moins visible et l'entier se portait plutôt bien. Il n'avait vraiment pas de séquelles sauf, ne plus pouvoir travailler comme avant. Cependant, ce petit handicape, ne l'empêchait pas de bien manger.
En attendant, il était l'heure de manger et visiblement, First semblait bien pressé d'attaquer son petit déjeuner. Le gourmand.
Sa blessure était de moins en moins visible et l'entier se portait plutôt bien. Il n'avait vraiment pas de séquelles sauf, ne plus pouvoir travailler comme avant. Cependant, ce petit handicape, ne l'empêchait pas de bien manger.
En effet, il faisait moins froid aujourd'hui et même le soleil montrait le bout de son nez. Les enfants en avaient profité pour sortir les chevaux en retraites et ainsi, aller faire une balade en forêt. Rien de mieux pour commencer la journée.
De ce fait, j'étais heureuse de voir Ysobel et Thomas s'entendre ainsi. Malgré la différence d'âge, ils arrivaient à bien s'entendre et à faire pas mal d'activités ensemble. Bien que leur passion première était les chevaux, ce qui aidait pas mal à bien s'entendre. Mais heureusement aussi, que ma petite brune avait tendance à être un peu plus mature que les fillettes de son âge.
De ce fait, j'étais heureuse de voir Ysobel et Thomas s'entendre ainsi. Malgré la différence d'âge, ils arrivaient à bien s'entendre et à faire pas mal d'activités ensemble. Bien que leur passion première était les chevaux, ce qui aidait pas mal à bien s'entendre. Mais heureusement aussi, que ma petite brune avait tendance à être un peu plus mature que les fillettes de son âge.
Au retour de leur balade, Ysobel n'avait pas perdu de temps pour aller s'occuper de MeïDeï. Depuis leur séjour aux écuries de Sherwood, leur amitié avait plutôt très bien avancé. Et cela faisait grandement plaisir à la petite fille. Elle en profitait donc pour passer mal de temps aux côtés de sa ponette. Comme aujourd'hui, elle avait simplement fait brouter la bai tout en me regardant travailler Fligyrl sur la carrière en herbe.
Malgré tout, je dois mener une vie plutôt confortable. Car je ne cesse de me rendre compte que le temps n'arrête pas de défiler à une vitesse affolante ! Je ne cache pas que j'ai un peu mis de côté les recherches pour la disparition de ma mère car... je ne trouve rien de concluant alors j'ai finis par laisser un peu tomber et m'occuper des enfants, et des animaux présents au refuge. C'est triste à dire mais ca fait quand même du bien de penser à autre chose... Bien que ma mère manque toujours autant...
Pour la magie, je fais toujours des tours de passe passe mais je ne cherche plus non plus à en apprendre d'avantage. De toute façon je pense que j'en connais pas mal. Pis, supprimer la vie de personnes comme je l'avais fais avec l'espèce de "famille" d'Ysobel m'avait quelque peu... fait prendre conscience j'étais de loin une "sorcière" ou plutôt une Lignière de pacotille... Dans le fond, c'était quand même un peu terrifiant.. Alors je me concentrais plus sur l'orphelinat et le refuge. Je n'avais même pas cherché à contacter Tell pour me léguer l'orbe qui servait à traverser les mondes. Objet que j'étais sensée garder..
D'ailleurs, une autre évoluait pas mal : Balkö. C'était une jument digne de sa mère mais avec un poil de caractère difficile de son père Kadance. Cependant, elle était vraiment à l'écoute et elle apprenait vite ce que je lui apprenais. En ce moment, je l'a travaillais plus à pieds, avec un simple licol et parfois une longe pour la guider quand elle semblait un peu perdue.
Pour la magie, je fais toujours des tours de passe passe mais je ne cherche plus non plus à en apprendre d'avantage. De toute façon je pense que j'en connais pas mal. Pis, supprimer la vie de personnes comme je l'avais fais avec l'espèce de "famille" d'Ysobel m'avait quelque peu... fait prendre conscience j'étais de loin une "sorcière" ou plutôt une Lignière de pacotille... Dans le fond, c'était quand même un peu terrifiant.. Alors je me concentrais plus sur l'orphelinat et le refuge. Je n'avais même pas cherché à contacter Tell pour me léguer l'orbe qui servait à traverser les mondes. Objet que j'étais sensée garder..
D'ailleurs, une autre évoluait pas mal : Balkö. C'était une jument digne de sa mère mais avec un poil de caractère difficile de son père Kadance. Cependant, elle était vraiment à l'écoute et elle apprenait vite ce que je lui apprenais. En ce moment, je l'a travaillais plus à pieds, avec un simple licol et parfois une longe pour la guider quand elle semblait un peu perdue.
Je ne me servais même plus de mon don qui me permettait de rentrer en contact avec les animaux. Pourtant, c'était vraiment une superbe expérience. Mais parfois j'hésitais un peu à le refaire. Notamment pour suivre Oblet qui partait pratiquement toutes les nuits dans les bois. Je en sais pas ce qu'il y faisait mais cela commençait vraiment à éveiller ma curiosité.
Aujourd'hui le temps était pas trop mal pour travailler les chevaux. Pendant que les enfants s'occupaient de leur monture, moi je continuais le débourrage avec Balkö. Elle avait très bien accepté le port de la selle et du filet. J'avais d'ailleurs trouvé ca plutôt étonnant de sa part, elle qui avait plutôt un caractère dur et aussi tête de mule quand elle le voulait. Cependant, c'était très bien, je pouvais la travailler en longe et elle semblait apprécier le travail. J'avais l'impression que cela l'a détendait.
Pendant ce temps, et sous mon regard bien veillant, Ysobel montait sa ponette MeïDeï en saut. Mais seulement sur des petites barres vu que je n'étais pas à 100% auprès d'elle pour ce travail.
Et pendant que je longeais ma jument et qu'Ysobel travaillait sa ponette, Thomas travaillait son cheval Alwyn sur du plat mais aussi avec quelques déplacements de dressage. Les deux s'entendaient très bien et l'hongre était un super cheval. Il acceptait tout le monde sur son dos comme dans son pré. J'avais quand même l'impression que parfois, Marianne lui manquait. Mais le jeune homme était là pour combler ce manque.
Comme je l'avais décidé il n'y a pas si longtemps, j'avais laissé de côté ma magie et aussi les recherches de la disparition de ma mère. Et depuis ce temps, j'avais une forte attirance pour les bois qui se trouvaient autour de chez moi. Je ne sais pas pourquoi, mais je ne pouvais m'empêcher d'y penser et de jeter un œil de temps en temps voire même à chaque fois que j'allais dehors. Mais le plus étrange pour moi, c'est que plus j'avancais dans le temps, et plus je faisais des rêves avec deux chevaux. L'une était ma jument Mystral que je reconnaissais très bien mais le second cheval... Je ne savais pas le reconnaître ou le connaitre tout court. Je les voyais souvent galoper dans les bois ou au bord des bois. Comme appartement, j'étais plutôt abonnée à ces rêves quelques peu étranges, je n'y portais pas plus d'attention que ca.
Mais à chaque fois que je me réveillais suite à un rêve du type, une envie folle me prenait d'aller faire un tour dans les bois. Je ne savais pas du tout comment expliquer cette sensation. D'ailleurs je ressentais ce besoin sans même faire de rêves la nuit précédente. Alors j'allais y faire une balade au moins une fois tous les deux jours. Mais, j'y allais seule, enfin pas avec les enfants. Et là aussi, je ressentais le besoin d'y aller toute seule... J'avais une vraie attirance de la forêt. C'est vrai que j'adorais ces lieux sans même ce besoin d'y aller aussi souvent mais là fallait vraiment que j'y aille y faire un tour pour me sentir "mieux".
En plus d'avoir ce besoin d'aller dans les bois, à chaque fois que j'y allais, j'avais l'impression d'être observée. J'avais l'impression qu'on me suivait et qu'on guettait mes moindres faits et gestes. Mais, ce qui était d'autant plus étrange, c'est que je n'avais pas l'instinct de fuir. En général, quand on a l'impression d'être observé au beau milieu des bois, on aurait tendance à fuir mais pas moi...
Avec les pouvoirs que j'avais, je tentais de comprendre si ce besoin était réellement un besoin ou si c'était une sorte d'appel de quelque chose ou de quelqu'un.. Mais, je n'arrivais pas à faire la différence. En fait, je ne pouvais rien expliquer... J'avais juste l'impression d'être surveillée.
Avec les pouvoirs que j'avais, je tentais de comprendre si ce besoin était réellement un besoin ou si c'était une sorte d'appel de quelque chose ou de quelqu'un.. Mais, je n'arrivais pas à faire la différence. En fait, je ne pouvais rien expliquer... J'avais juste l'impression d'être surveillée.
Une semaine de plus venait de s'écouler et ce besoin d'aller dans la forêt était toujours belle et bien présent. Pourtant, j'y allais assez souvent pour tenter de combler ce besoin mais à croire que cela devenait pire qu'une drogue.
A ma dernière balade, j'avais cru voir une ombre semblant à un être humain mais je n'avais pas eu le temps de voir plus car "cette personne", je pense, avait filé comme une flèche.
Mais, mis à part tout ca, ce matin, la venu d'un nouveau cheval dit en retraite été arrivé au refuge. C'est un PurSangArabe venant d'un certain Joel Sun. Bel bête. Mais je n'avais pas l'habitude de côtoyer ce genre de race. Il était vif comme tout et ne cachait qu'il était un bel étalon. Pourtant, Tywelda m'avait déjà fait goûter au côté... "sauvage" et plein d'énergie mais lui, c'était encore autre chose. C'était dans ses gènes...
En tout cas, il était le bien venu dans mes écuries pour passer des derniers jours digne d'une bonne retraite !
A ma dernière balade, j'avais cru voir une ombre semblant à un être humain mais je n'avais pas eu le temps de voir plus car "cette personne", je pense, avait filé comme une flèche.
Mais, mis à part tout ca, ce matin, la venu d'un nouveau cheval dit en retraite été arrivé au refuge. C'est un PurSangArabe venant d'un certain Joel Sun. Bel bête. Mais je n'avais pas l'habitude de côtoyer ce genre de race. Il était vif comme tout et ne cachait qu'il était un bel étalon. Pourtant, Tywelda m'avait déjà fait goûter au côté... "sauvage" et plein d'énergie mais lui, c'était encore autre chose. C'était dans ses gènes...
En tout cas, il était le bien venu dans mes écuries pour passer des derniers jours digne d'une bonne retraite !
Ce matin, il faisait soleil et je ne cache pas que cela faisait du bien. Le soleil est toujours bon pour le moral et cela me le prouve ce matin. Moi qui comment à me demander si avoir cessé les recherches de ma mère n'a pas quelques conséquences ... Je me demande parfois si le fait d'avoir arrêté, d'avoir mis tout ca de côté, et bien.... je me demande si la forêt n'est pas entrain de me dire qu'il ne faut pas que j'arrête. Que je dois trouver des réponses à mes questions et continuer jusqu'à tant que je sache. Car ses rêves et ses sensations sont quand même étranges.. Cependant, à un certain moment, ca fait mal de chercher encore et encore sans avoir de réponses... Ma mère me manque tellement dans le fond...
Et ce matin, quelque chose m'a rappelé ma mère dans toute sa splendeur. En allant nourrir les chevaux en retraites, je suis tombée sur un chien errent et pas en très bon état.. Si c'était ma mère qui serait tombée dessus, elle aurait pas hésité une seule seconde pour le prendre et le remettre sur pieds. Je sais que mon refuge ne prend plus vraiment les animaux en détressent mais, pour honorer ma mère et pour ce pauvre chien qui n'a rien demandé, je l'ai pris sous mon aile et je lui ai apporté les soins nécessaires. C'était Ysobel qui était heureuse de voir un nouveau toutou à la maison.
Et ce matin, quelque chose m'a rappelé ma mère dans toute sa splendeur. En allant nourrir les chevaux en retraites, je suis tombée sur un chien errent et pas en très bon état.. Si c'était ma mère qui serait tombée dessus, elle aurait pas hésité une seule seconde pour le prendre et le remettre sur pieds. Je sais que mon refuge ne prend plus vraiment les animaux en détressent mais, pour honorer ma mère et pour ce pauvre chien qui n'a rien demandé, je l'ai pris sous mon aile et je lui ai apporté les soins nécessaires. C'était Ysobel qui était heureuse de voir un nouveau toutou à la maison.
Emma m'avait récemment appelé pour me laisser de nouveau un cheval en retraite. Accapella venait d'être mise en retraite et le ranch voulait me léguer la jument contre de bons soins. Emma savait très bien que leurs chevaux étaient entre de bonnes mains et c'est la raison pour laquelle elle m'envoyait toujours ses vieux chevaux. Emma avait tout de même pris de mes nouvelles au passage. Je lui avais répondu que j'allais bien, quelques tracas mais tout allait bien. Ces tracas étaient principalement basés sur ce sentiment d'attirance vers la forêt. Mais ca, je ne lui avais pas dis.
Sa jument QuarterHorse était arrivée un jour où le beau temps était de loin présent. Les nuages eux, avaient fait leur place et avaient l'air de ne pas vouloir l'a céder au soleil. De plus, un épais brouillard venait de s'installer. On avait l'impression que le mauvais temps était bel et bien présent. D'ailleurs, certains des chevaux, étaient placés dans des boxes avec ou sans couverture. Cela dépendait de leur besoin.
Ce soir là, malgré ce brouillard, j'avais sellé Love Me Like You Do, que je nommais simplement Love. C'était le PurSangArabe qui était récemment arrivé aux écuries pour une retraite. Les allures de cette race éveillaient une certaine curiosité chez moi alors je le montais plutôt régulièrement afin de le découvrir un peu mieux, lui et ses caractéristiques d'un PurSangArabe. Et d'ailleurs, ce soir là, c'est lui que j'avais donc pris pour faire la balade pratiquement quotidienne dans les bois. Il semblait quelque peu nerveux par ce temps mais je pense qu'il y était plus par rapport au fait qu'il ne connaissait pas les lieux. C'était donc aussi une occasion pour lui de lui faire découvrir les alentours.
D'habitude, j'étais toujours plus ou moins accompagnée au moins par mon renard Oblet, mais ce soir là, j'étais partis seule. J'étais seule et cela faisait parfois du bien de se retrouver avec sois-même.. Cela me permettait de repenser entre autre tranquillement aux bons souvenirs passés avec ma mère..
Je venais de prendre un chemin qui menait vers une petite forêt. C'est fou comme ce lieu peut être calme. Même les animaux ne se font pas voir, si il en avait autour de moi, je ne le savais pas. Il n'y avait pas un seule bruit. D'ailleurs, cela en devenait limite inquiétant... Mais ce détail ne me dérangea pas plus que ca, je continuais ma balade seule.
Seule jusqu'au moment où un personnage bien étrange semblait me barrer la route. En fait, ce n'était pas qu'une impression, ce mec quelque peu étrange me barrait la route !
Sa jument QuarterHorse était arrivée un jour où le beau temps était de loin présent. Les nuages eux, avaient fait leur place et avaient l'air de ne pas vouloir l'a céder au soleil. De plus, un épais brouillard venait de s'installer. On avait l'impression que le mauvais temps était bel et bien présent. D'ailleurs, certains des chevaux, étaient placés dans des boxes avec ou sans couverture. Cela dépendait de leur besoin.
Ce soir là, malgré ce brouillard, j'avais sellé Love Me Like You Do, que je nommais simplement Love. C'était le PurSangArabe qui était récemment arrivé aux écuries pour une retraite. Les allures de cette race éveillaient une certaine curiosité chez moi alors je le montais plutôt régulièrement afin de le découvrir un peu mieux, lui et ses caractéristiques d'un PurSangArabe. Et d'ailleurs, ce soir là, c'est lui que j'avais donc pris pour faire la balade pratiquement quotidienne dans les bois. Il semblait quelque peu nerveux par ce temps mais je pense qu'il y était plus par rapport au fait qu'il ne connaissait pas les lieux. C'était donc aussi une occasion pour lui de lui faire découvrir les alentours.
D'habitude, j'étais toujours plus ou moins accompagnée au moins par mon renard Oblet, mais ce soir là, j'étais partis seule. J'étais seule et cela faisait parfois du bien de se retrouver avec sois-même.. Cela me permettait de repenser entre autre tranquillement aux bons souvenirs passés avec ma mère..
Je venais de prendre un chemin qui menait vers une petite forêt. C'est fou comme ce lieu peut être calme. Même les animaux ne se font pas voir, si il en avait autour de moi, je ne le savais pas. Il n'y avait pas un seule bruit. D'ailleurs, cela en devenait limite inquiétant... Mais ce détail ne me dérangea pas plus que ca, je continuais ma balade seule.
Seule jusqu'au moment où un personnage bien étrange semblait me barrer la route. En fait, ce n'était pas qu'une impression, ce mec quelque peu étrange me barrait la route !
En plus d'être étrange, j'avais la vague impression qu'il ne me voulait pas que du bien. Je sentis mon coeur se serrer de stress. Il n'avait pas l'air de vouloir faire de mi-tour ou tout simplement continuer son chemin... J'avais alors plongé mon regard dans le sien comme.. attiré par ses yeux... tout aussi étranges que lui ! En effet ses yeux n'étaient pas de couleurs habituelles. Mais je n'avais pas eu le temps de réellement les examiner que ce dernier avait murmuré quelques.. qui ressemblait beaucoup à de la magie. Suite à ses paroles, mon cheval fut pris de manique et m'avait mis à terre comme une vulgaire poupée. Pourtant, j'avais tenté de me tenir à lui mais c'était impossible.
Une fois à terre, je voulais me relever pour me défendre mais un soudain mal de crâne avait surgit. Oui, en tombant, je m'étais cognée la tête contre un rocher qui devait se trouver derrière moi. J'avais mal et je me sentais pas bien.. Je voulais me relever et ca, malgré toutes mes forces, je n'y arrivais pas. Je posai alors mon regard sur l'homme à quelques mètres de moi, il semblait fier de lui, fier de m'avoir mise à terre. Et ce n'est qu'en l'espace de quelques secondes, qu'il fonça droit sur moi pour me sauter dessus comme un animal sauvage traquant sa proie. Et c'est en se rapprochant de moi que je remarquai que sa peau...était noire... Aussi noire que la pénombre qui s'installait de plus en plus à ce moment là.
Etant allongée par terre, mon cheval ayant fuit aux travers bois, et pratiquement paralysée par se mal de tête, je ne pouvais rien faire d'autre que de le regarder plonger sur moi à toute vitesse. Mais lorsqu'il arriva seulement à quelques centimètres de moi, le moment où on se dit que c'est la fin, une sorte d'animal venait de lui barrer la route. Surprise, je n'avais pas tout à fait réalisé que c'était un cheval de couleur gris qui venait de stopper cet homme noir d'un coup de sabot plutôt violant. De part la couleur du cheval, je pensais que Mystral était venue à mon aide. J'étais quelque part, soulagée de sa présence..
Mais je me sentais de plus en plus faible et je commençais à voir flou... J'entendais ma jument hennir de colère et ses sabots taper le sol pour me défendre et pour faire fuir ce fou... J'entendais également l'homme crier pour tenter de se défendre face à un cheval se ruant de toutes ses forces. Je fermais de plus en plus mes yeux qu'en j'entendis comme des bruits de flammes. Je me concentrai pour ouvrir mes yeux afin de voir ce qui se passait et en effet, la jument grise venait de mettre le feu pour faire fuir ou détruire l'homme étrange, mais je n'arrivais pas à voir si il était toujours là ou pas.. Cela m'avait fait repenser à la fois où j'étais entrée en contacte avec ma jument pour mettre le feu et tuer les bourreaux d'Ysobel. C'était bien ma jument, Mystral était à mes côtés pour me protéger...
Etant allongée par terre, mon cheval ayant fuit aux travers bois, et pratiquement paralysée par se mal de tête, je ne pouvais rien faire d'autre que de le regarder plonger sur moi à toute vitesse. Mais lorsqu'il arriva seulement à quelques centimètres de moi, le moment où on se dit que c'est la fin, une sorte d'animal venait de lui barrer la route. Surprise, je n'avais pas tout à fait réalisé que c'était un cheval de couleur gris qui venait de stopper cet homme noir d'un coup de sabot plutôt violant. De part la couleur du cheval, je pensais que Mystral était venue à mon aide. J'étais quelque part, soulagée de sa présence..
Mais je me sentais de plus en plus faible et je commençais à voir flou... J'entendais ma jument hennir de colère et ses sabots taper le sol pour me défendre et pour faire fuir ce fou... J'entendais également l'homme crier pour tenter de se défendre face à un cheval se ruant de toutes ses forces. Je fermais de plus en plus mes yeux qu'en j'entendis comme des bruits de flammes. Je me concentrai pour ouvrir mes yeux afin de voir ce qui se passait et en effet, la jument grise venait de mettre le feu pour faire fuir ou détruire l'homme étrange, mais je n'arrivais pas à voir si il était toujours là ou pas.. Cela m'avait fait repenser à la fois où j'étais entrée en contacte avec ma jument pour mettre le feu et tuer les bourreaux d'Ysobel. C'était bien ma jument, Mystral était à mes côtés pour me protéger...
Mais mes forces me quittaient de plus en plus et j'avais de plus en plus de mal à me garder éveillée.. Ma tête, elle me faisait vraiment mal. C'est alors que j'entendis la voix d'une femme, qui se baladait prêt du feu. En fait je ne savais pas trop, j'avais trop mal pour bien comprendre ce qui se passait.. La dernière chose que je vis, c'était une personne qui semblait tenter d'éteindre le feu accompagnée de ma jument qui ne cessait de se cabrer.. Comme un cheval sauvage affolé et agacé par ces flammes chaudes et dangereuses. Puis, mes yeux se fermèrent...
Ce n'est qu'au petit matin que je me réveillai. Mais, je n'étais visiblement pas chez moi, mais toujours dans la forêt. J'avais quand même remarqué que je n'étais plus au même endroit. Je voulus me relever, mais ma douleur à la tête m'avait quelque peu freinée dans mon élan.. J'avais mal. Je remarquai que je n'étais pas seule et visiblement, je n'avais pas fait de bruit car cette personne semblait bien occupée à maintenir un feu qui ressemblait à un feu de camp. Un feu de camp ? Mais où étais-je ! Prise de panique, je me relevai d'un seul coup et sentis à nouveau des douleurs, mais cette fois si, dans le bas du dos. La chute avait du avoir un impacte sur mon dos lorsque je suis tombée. Cette douleur m'en laissa échapper un cri de souffrance. Et cette fois si, la personne prêt du feu m'avait entendu et s'était retournée. Et quand nos regards se croisèrent, j'eu de nouveau une prise de panique. Cette personne avait la peau noire et les yeux étranges, c'était l'homme ! Je devais fuir ! Mais avec ces blessures, je n'avais pas réussi à totalement me redresser et prendre mes jambes à mon coup. Cet inconnu avait posé la main sur mes épaules pour me calmer et pour tenter de me rassurer. A l'entente de sa voix, j'avais pris conscience que ce n'était pas un homme mais une femme.
- Le femme : Là Patience, restez calme.. Vos blessures vont vous faire souffrir si vous bougez trop.
- Moi, étonnée de voir qu'elle connaissait mon nom : Mais vous êtes qui vous ?! Que me voulez-vous ?!
- La femme, ayant conscience que j'étais sur mes gardes : Je suis Wynaëll, elfe noire des bois Magistral.
- Moi : Pardon ? Vous vous foutez de moi ?!
- Wynaëll, qui s'était munie d'une sorte de torchon et d'un "bol" d'eau : Non Patience, je me fiche pas de vous. Je vous ai simplement sauvé des griffes de Kyron hier soir.
- Moi : De quoi ? De qui ? Kyron ?
- Wynaëll : Oui Patience, vous étiez en mauvaise posture alors je suis venue vous aider grâce Oenrir, j'étais en contacte avec elle.
- Moi, choquée par ce qu'elle venait de dire, je sentais mon coeur étouffer : Oenrir ???!! C'est.. c'est la jument de ma mère !! C'est impossible ! Elle est retournée dans la nature.
- Wynaëll : Arrêtez de vous agiter, je tente de penser vos blessures.
J'en avais assez qu'elle me pouponne pour me soigner, les mots que je venais d'entendre m'avaient fait entrer dans une telle colère et en même temps, le sentiment de joie m'avait atteins. Le nom d'Oenrir m'avait redonné espoir. Mais étant prise sous l'effet de la colère, je m'étais cette fois relevée sans difficultés et j'étais à deux doigts de me servir de ma magie contre cette Wynaëll mais... visiblement cette elfe noire était plus rapide que moi et plus douée. Elle maîtrisait sa magie comme on maîtrise une marionnette.
- Wynaëll : Ca suffit Patience ! Je vous ai sauvé hier soir et c'est comme ca que vous me remerciez !? Cet homme est dangereux et maintenant il va falloir être sur vos gardes !
- Moi : Si vous voulez que je comprenne mieux ce qui se passe, va falloir m'expliquer ! C'est qui cet homme qui visiblement me veut du mal ?!
- Wynaëll : C'est un Elf Noir lui aussi, comme moi, mais nous sommes pas tous méchants. Kyron fait partis des Elfs Noirs qui cherchent à conquérir tout ce qui peuvent convoiter. Et je crois que ca, vous le saviez déjà, Tell a dû vous en parler.
- Moi, de nouveau surprise : Tell ? Vous connaissez Tell ?
- Wynaëll : Oui, je connais Tell. Pour être honnête avec vous, je suis une Lignères tout comme vous Patience. J'ai donc du être amenée à croiser le chemin de Tell à plusieurs reprises. D'ailleurs, je l'ai souvent aidé sur certains points, comme pour contre-carrer les plans des Elfs Noirs. Et d'ailleurs, je dois vous dire quelque chose Patience.
- Moi : Dites-moi !
- Wynaëll : En réalité, Kyron... est celui qui a enlevé votre mère Ophënya. Et...
- Moi, ne lui laissant pas le temps de continuer : Ma mère est en vie !!??
- Wynaëll : Oui Patience, votre mère est en vie mais pas en très bonne état hélas.. Elle est détenue par les Elfs Noirs, les mauvais et dans l'autre monde..
- Moi : Rassurez-moi Wynaëll, elle n'est pas blessée ? Comment savez-vous tout ca si vous n'êtes pas du même côté que Kyron ?
- Wynaëll : Car je l'ai été pendant un certain temps et je le suis toujours plus ou moins, mais sous forme d'espionne. Votre mère Ophënya est tenue prisonnière sur le territoire de Kyron et ses hommes. Il parait que votre mère à trouvé des informations dont il ne valait mieux pas savoir. Alors ils cherchent à l'éliminer mais visiblement, il l'a garde en vie pour le moment. Et.. je crois qu'il vous veulent aussi, ils doivent penser que vous savez quelque aussi.
- Moi : Je veux retrouver ma mère. Aidez-moi à aller la chercher !
- Wynaëll : Non Patience, c'est impossible. Elle m'a fait promettre de vous protéger de ces gens ... Et c'est en me confiant sa jument que j'arrive à veiller sur vous et votre domaine depuis un moment. Je suis dans l'esprit d'Oenrir et je vous surveille, depuis les bois.
- Moi, comprenant maintenant ce besoin d'aller dans les bois : Alors c'était vous ?
- Wynaëll : Oui enfin, la jument de votre mère.
Suite à ses paroles, l'Elfe Noire me fit un signe de la main afin de regarder un peu plus loin. En effet, je venais de poser mes yeux sur Oenrir. Oenrir, la jument de ma mère. Ma mère qui me manquait tant... Et, je venais de réaliser qu'en fait, ce n'était pas ma jument Mystral qui m'avait protégé hier soir, mais Oenrir, une partie de ma mère.. Ou plutôt Wynaëll à travers Oenrir..
- Moi, étonnée de voir qu'elle connaissait mon nom : Mais vous êtes qui vous ?! Que me voulez-vous ?!
- La femme, ayant conscience que j'étais sur mes gardes : Je suis Wynaëll, elfe noire des bois Magistral.
- Moi : Pardon ? Vous vous foutez de moi ?!
- Wynaëll, qui s'était munie d'une sorte de torchon et d'un "bol" d'eau : Non Patience, je me fiche pas de vous. Je vous ai simplement sauvé des griffes de Kyron hier soir.
- Moi : De quoi ? De qui ? Kyron ?
- Wynaëll : Oui Patience, vous étiez en mauvaise posture alors je suis venue vous aider grâce Oenrir, j'étais en contacte avec elle.
- Moi, choquée par ce qu'elle venait de dire, je sentais mon coeur étouffer : Oenrir ???!! C'est.. c'est la jument de ma mère !! C'est impossible ! Elle est retournée dans la nature.
- Wynaëll : Arrêtez de vous agiter, je tente de penser vos blessures.
J'en avais assez qu'elle me pouponne pour me soigner, les mots que je venais d'entendre m'avaient fait entrer dans une telle colère et en même temps, le sentiment de joie m'avait atteins. Le nom d'Oenrir m'avait redonné espoir. Mais étant prise sous l'effet de la colère, je m'étais cette fois relevée sans difficultés et j'étais à deux doigts de me servir de ma magie contre cette Wynaëll mais... visiblement cette elfe noire était plus rapide que moi et plus douée. Elle maîtrisait sa magie comme on maîtrise une marionnette.
- Wynaëll : Ca suffit Patience ! Je vous ai sauvé hier soir et c'est comme ca que vous me remerciez !? Cet homme est dangereux et maintenant il va falloir être sur vos gardes !
- Moi : Si vous voulez que je comprenne mieux ce qui se passe, va falloir m'expliquer ! C'est qui cet homme qui visiblement me veut du mal ?!
- Wynaëll : C'est un Elf Noir lui aussi, comme moi, mais nous sommes pas tous méchants. Kyron fait partis des Elfs Noirs qui cherchent à conquérir tout ce qui peuvent convoiter. Et je crois que ca, vous le saviez déjà, Tell a dû vous en parler.
- Moi, de nouveau surprise : Tell ? Vous connaissez Tell ?
- Wynaëll : Oui, je connais Tell. Pour être honnête avec vous, je suis une Lignères tout comme vous Patience. J'ai donc du être amenée à croiser le chemin de Tell à plusieurs reprises. D'ailleurs, je l'ai souvent aidé sur certains points, comme pour contre-carrer les plans des Elfs Noirs. Et d'ailleurs, je dois vous dire quelque chose Patience.
- Moi : Dites-moi !
- Wynaëll : En réalité, Kyron... est celui qui a enlevé votre mère Ophënya. Et...
- Moi, ne lui laissant pas le temps de continuer : Ma mère est en vie !!??
- Wynaëll : Oui Patience, votre mère est en vie mais pas en très bonne état hélas.. Elle est détenue par les Elfs Noirs, les mauvais et dans l'autre monde..
- Moi : Rassurez-moi Wynaëll, elle n'est pas blessée ? Comment savez-vous tout ca si vous n'êtes pas du même côté que Kyron ?
- Wynaëll : Car je l'ai été pendant un certain temps et je le suis toujours plus ou moins, mais sous forme d'espionne. Votre mère Ophënya est tenue prisonnière sur le territoire de Kyron et ses hommes. Il parait que votre mère à trouvé des informations dont il ne valait mieux pas savoir. Alors ils cherchent à l'éliminer mais visiblement, il l'a garde en vie pour le moment. Et.. je crois qu'il vous veulent aussi, ils doivent penser que vous savez quelque aussi.
- Moi : Je veux retrouver ma mère. Aidez-moi à aller la chercher !
- Wynaëll : Non Patience, c'est impossible. Elle m'a fait promettre de vous protéger de ces gens ... Et c'est en me confiant sa jument que j'arrive à veiller sur vous et votre domaine depuis un moment. Je suis dans l'esprit d'Oenrir et je vous surveille, depuis les bois.
- Moi, comprenant maintenant ce besoin d'aller dans les bois : Alors c'était vous ?
- Wynaëll : Oui enfin, la jument de votre mère.
Suite à ses paroles, l'Elfe Noire me fit un signe de la main afin de regarder un peu plus loin. En effet, je venais de poser mes yeux sur Oenrir. Oenrir, la jument de ma mère. Ma mère qui me manquait tant... Et, je venais de réaliser qu'en fait, ce n'était pas ma jument Mystral qui m'avait protégé hier soir, mais Oenrir, une partie de ma mère.. Ou plutôt Wynaëll à travers Oenrir..
Oenrir était accompagnée d'un autre cheval quelque peu, étrange lui aussi... Wynaëll m'avait expliqué que ce n'était qu'autre que sa monture à elle. Mais, ce n'était pas réellement un cheval, c'était une espèce venant de l'autre monde et propre aux Elfes Noirs. De là où j'étais, cet animal avait l'air majestueux et plutôt fier...
Le jour se levait et je devais rentrer, les enfants étaient seuls à la maison. Et à mon arrivé, les enfants étaient entrain de déjeuner comme si de rien n'était. Ils n'avaient pas l'air inquiets alors je n'avais rien mentionné de spécial. Si pour eux, rien ne s'était passé, c'était pas plus mal. Je les avais tous deux embrassé sur le front avant de monter et de m'écrouler dans mon fauteuil prêt de la fenêtre dans ma chambre.. Je ne sais pas si je réalisais vraiment ce qui s'était passé cette nuit et surtout ce matin mais je venais d'avoir des réponses au sujet de ma mère. Des réponses que je cherchais depuis toujours et sans jamais trouver la moindre petite piste à ce sujet. Il suffisait de rencontrer cette Elfe Noire pour connaitre la vérité...
Le jour se levait et je devais rentrer, les enfants étaient seuls à la maison. Et à mon arrivé, les enfants étaient entrain de déjeuner comme si de rien n'était. Ils n'avaient pas l'air inquiets alors je n'avais rien mentionné de spécial. Si pour eux, rien ne s'était passé, c'était pas plus mal. Je les avais tous deux embrassé sur le front avant de monter et de m'écrouler dans mon fauteuil prêt de la fenêtre dans ma chambre.. Je ne sais pas si je réalisais vraiment ce qui s'était passé cette nuit et surtout ce matin mais je venais d'avoir des réponses au sujet de ma mère. Des réponses que je cherchais depuis toujours et sans jamais trouver la moindre petite piste à ce sujet. Il suffisait de rencontrer cette Elfe Noire pour connaitre la vérité...
Le regard dans le vide, j'étais perdue dans mes pensées.. Tellement que je n'avais pas remarqué la présence de Tell.
- Tell : Bonjour Patience.
- Moi, sortis de mes pensées suite à un sursaut : Tell !
- Tell : Je suis venue te voir ce matin suite à cette nuit... J'ai appris que ...
- Moi, prise de colère : Tu savais pour ma mère ??!!
- Tell, n'ayant pas eu le temps de rajouter quoi que se soit : Pardon ??...
- Moi, folle de rage : Tu savais pour ma mère ! Tu savais où elle était et tu me l'as jamais dit ! Pourquoi ?!! Pourquoi tu m'as fait ca ??!!
- Tell : Je devais te protéger... Je devais garder le secret...
- Moi : N'importe quoi ! Tu racontes que des conneries ! J'aurais pu aider ma mère ! La sauver ! La ramener prêt de moi, ma sœur et de Yan ! Va-t-en ! Je veux plus te voir ! Dégage !
Je venais de blesser Tell mais j'en avais rien à faire. Elle m'avait jeté un regard empli de regrets et de tristesse par ce que je venais de lui dire. Mais je ne voulais plus l'a voir..
- Moi, sortis de mes pensées suite à un sursaut : Tell !
- Tell : Je suis venue te voir ce matin suite à cette nuit... J'ai appris que ...
- Moi, prise de colère : Tu savais pour ma mère ??!!
- Tell, n'ayant pas eu le temps de rajouter quoi que se soit : Pardon ??...
- Moi, folle de rage : Tu savais pour ma mère ! Tu savais où elle était et tu me l'as jamais dit ! Pourquoi ?!! Pourquoi tu m'as fait ca ??!!
- Tell : Je devais te protéger... Je devais garder le secret...
- Moi : N'importe quoi ! Tu racontes que des conneries ! J'aurais pu aider ma mère ! La sauver ! La ramener prêt de moi, ma sœur et de Yan ! Va-t-en ! Je veux plus te voir ! Dégage !
Je venais de blesser Tell mais j'en avais rien à faire. Elle m'avait jeté un regard empli de regrets et de tristesse par ce que je venais de lui dire. Mais je ne voulais plus l'a voir..
Elle était partis laissant place à un gros orage avec des fortes pluies. Thomas avait toqué à la porte de ma chambre pour me demander si il devait rentrer les chevaux. Je lui avais dis que oui mais que je ne pouvais pas l'aider. Sans broncher il s'était exécuté. Triste et perdue, mes larmes se jetèrent de mes yeux... Je ne savais plus où j'en étais... Ce mauvais temps, c'est comme si il illustrait mon moral en ce moment même. Triste et sombre.
Seul Oblet osait sortir dehors.
Seul Oblet osait sortir dehors.
Je tentais le plus possible de mettre ma colère de côté pour ne pas la montrer aux enfants. Je les avais accueilli chez moi pour qu'ils se sentent bien. Je ne devais donc pas leur montrer que je n'étais pas au top de ma forme. C'était pas facile mais je devais pas trop mal m'en sortir car Ysobel semblait ne rien remarquer. Je n'en étais pas aussi sûre pour Thomas cependant. Thomas était bien plus grand qu'Ysobel alors bien sur, il pouvait voir et comprendre plus de choses sans même le lui dire. Mais, Noël approchait plutôt à grand pas et il était temps de se consacrer à ces fêtes qui apportent de la joie et de la bonne humeur. C'est pour ca qu'en cette journée d'hiver enneigée, nous avons sortis le sapin afin de le faire et de décorer la maison et l'extérieur. Nous avions fait un beau et grand sapin. Les enfants semblaient ravis et avaient le sourire aux lèvres ce qui me le donnait également. C'était un moment convivial et fort agréable à passer avec eux.
Nous avions décoré ce grand sapin, mais pas seulement. La plus part du salon/salle à manger était emplis de décos de noël. Même la table respectait le thème.
Quelques petits jours plus tard, les enfants étaient partis pour quelques jours avant noël afin de voir du paysage et s'organiser un petit voyage entre eux. Ils s'entendaient vraiment bien et cela me rendait heureuse. J'étais contente de mon orphelinat et j'aimais beaucoup les enfants mais ceci ne m'empêchais pas de penser à ma mère. Je voulais aller la chercher par tous les moyens et je ne pouvais m'empêcher de penser à comment j'allais faire. J'avais même ressortis mes outils de magie et j'avais recommencé à la pratiquer. Je m'étais même installé dans le grenier qui donnait sur ma chambre, afin de pratiquer tout cela en toute discrétion. Personne n'était au courant de son existence à par moi et c'était très bien.
Comme les enfants étaient partis, j'étais donc seule à m'occuper des chevaux. Seule à les rentrer/sortir, seule à les nourrir. Ceci n'étais pas simple avec autant de chevaux. Mais cela me plaisait aussi de me retrouver seule avec mes animaux. Et d'ailleurs ce matin je sortais mes chevaux à moi en terminant par Flygirl.
Comme les enfants étaient partis, j'étais donc seule à m'occuper des chevaux. Seule à les rentrer/sortir, seule à les nourrir. Ceci n'étais pas simple avec autant de chevaux. Mais cela me plaisait aussi de me retrouver seule avec mes animaux. Et d'ailleurs ce matin je sortais mes chevaux à moi en terminant par Flygirl.
Et quand je sorti des écuries, je vis deux personnes se diriger vers moi dont une à cheval. Ce n'était qu'autre que Tell et Wynaëll. J'étais surprise de les voir ici et de façon à ne pas se cacher de la vue des gens mais j'étais doublement surprise de les voir ensembles même si je savais qu'elles se connaissaient déjà.
Elles étaient venues me voir pour me montrer quelque chose. Et elles attendaient le bon moment depuis quelques jours déjà mais elles souhaitaient que je sois seule à la maison pour venir à moi. Tell semblait assez distante et même peut-être un peu froide. Je crois qu'elle n'avait pas encore digéré le fait que je ne voulais plus l'a voir. Et d'ailleurs je m'apprêtais à la chasser mais je fis interrompu par l'elfe noire qui s'était interposée entre nous et elle m'avait bien fait comprendre que ce n'était pas le moment et qu'elles étaient venues ici en bon terme et surtout pour me montrer quelque chose.
Visiblement Tell n'arrivait pas à articuler ni même à prononcer les mots qu'elle voulait me dire. Elle était comme bloquée et semblait gênée. A ce moment là, je m'étais senti un peu bête de l'avoir mal mené lors de notre dernière rencontre. Dans le fond elle n'y était pour rien mais j'étais tellement en colère. Et malgré que j'avais envie de lui pardonner, quelque chose en moi ne pouvais pas encore le faire. J'étais trop blessée par ce qu'elle m'avait caché tout ce temps.
Wynaëll finit par me dire qu'il était plus sage de les suivre au lieu de se fâcher à nouveau avec l'elfe blanche. Je crois qu'elle n'avait pas tors. J'avais donc remis ma jument pie dans son box pour les suivre... Elles m'avaient mené vers un autre bâtiment de mes écuries. Juste avant de rentrer, Wynaëll mis pieds à terre et avait confié sa monture à Tell. Puis elle m'avait fait signe de rentrer dans l'écurie où se trouvait First Time et Love Me. Et ce que je voyais, était une femme qui caressais le DrumHorse. Mon cœur s'était serré en une fraction de seconde.
Visiblement Tell n'arrivait pas à articuler ni même à prononcer les mots qu'elle voulait me dire. Elle était comme bloquée et semblait gênée. A ce moment là, je m'étais senti un peu bête de l'avoir mal mené lors de notre dernière rencontre. Dans le fond elle n'y était pour rien mais j'étais tellement en colère. Et malgré que j'avais envie de lui pardonner, quelque chose en moi ne pouvais pas encore le faire. J'étais trop blessée par ce qu'elle m'avait caché tout ce temps.
Wynaëll finit par me dire qu'il était plus sage de les suivre au lieu de se fâcher à nouveau avec l'elfe blanche. Je crois qu'elle n'avait pas tors. J'avais donc remis ma jument pie dans son box pour les suivre... Elles m'avaient mené vers un autre bâtiment de mes écuries. Juste avant de rentrer, Wynaëll mis pieds à terre et avait confié sa monture à Tell. Puis elle m'avait fait signe de rentrer dans l'écurie où se trouvait First Time et Love Me. Et ce que je voyais, était une femme qui caressais le DrumHorse. Mon cœur s'était serré en une fraction de seconde.
Wynaëll avait appelé cette femme par un nom qui m'avait figé sur place... D'ailleurs je n'arrivais pas à décrire la sensation que j'avais à ce moment là. J'avais l'impression d'halluciner... , de rêver...
Cette femme aux cheveux blancs, n'était qu'autre que ma mère, Ophënya...
Cette femme aux cheveux blancs, n'était qu'autre que ma mère, Ophënya...
J'avais été très surpique de voir un visage si...vieillit. Elle semblait si fatiguée, si usée que pour le coup, je ne savais même pas si je pouvais lui sauter dans les bras. Et ca faisait tellement longtemps que je ne l'avais pas vu, ni sentis prêt de moi que j'avais presque l'impression d'avoir une personne inconnue en face de moi. C'était presque douloureux. Seuls, des larmes coulant sur mes joues avaient réussi à exprimer en quelque sorte ce que je ressentais. Ma mère avait également laissé échapper quelques larmes avant de me prendre dans ses bras. C'était tellement incroyable que j'avais beaucoup de mal à y croire. J'avais l'impression d'être dans un rêve ou même, dans un cauchemars tellement j'avais peur qu'on me l'enlève à nouveau ou qu'elle disparaisse... Mais elle me serait tellement fort contre elle que je sentais bien sa présence, elle était bien là, devant moi, dans mes bras, chez moi, prêt de moi.
Tellement émue par ces retrouvailles que je ne savais même plus aligner une phrase dans l'ordre. Je ne savais plus quel mot correspondait à mes sentiments. Et j'en avais pratiquement oublié les elfes qui veillaient sur nous durant ce moment.
Tell avait finis par proposer de rentrer au chaud afin de pouvoir discuter, échanger et en quelque sorte rattraper le temps perdu.
Nous nous étions donc installées dans mon salon et ma mère était en admiration devant ce que j'avais réussi à bâtir de mes propres mains, de mes propres moyens. Ma maison était pour elle, magnifique. Je lui en avais fait un bref résumé et je lui avais expliqué où j'en étais au jour d'aujourd'hui. Elle semblait si fière de moi. Mais au fil de la conversation, j'avais finis par demander comment elle avait réussi à sortir des griffes des elfes noirs et notamment de celles de Kyron.
Tellement émue par ces retrouvailles que je ne savais même plus aligner une phrase dans l'ordre. Je ne savais plus quel mot correspondait à mes sentiments. Et j'en avais pratiquement oublié les elfes qui veillaient sur nous durant ce moment.
Tell avait finis par proposer de rentrer au chaud afin de pouvoir discuter, échanger et en quelque sorte rattraper le temps perdu.
Nous nous étions donc installées dans mon salon et ma mère était en admiration devant ce que j'avais réussi à bâtir de mes propres mains, de mes propres moyens. Ma maison était pour elle, magnifique. Je lui en avais fait un bref résumé et je lui avais expliqué où j'en étais au jour d'aujourd'hui. Elle semblait si fière de moi. Mais au fil de la conversation, j'avais finis par demander comment elle avait réussi à sortir des griffes des elfes noirs et notamment de celles de Kyron.
Tell m'avait à ce moment là, regardé avec un regard emplis d'excuses. Son visage était si peiné qu'une larme s'était presque jetée de sa son œil. Cela me faisait drôle de voir Tell dans cet état, elle qui est toujours forte, si insensible de manière général.
Elle avait inspiré une bonne bouffé d'air avant de m'avouer que c'était elle qui avait été chercher ma mère avec l'aide de Wynaëll et d'autres de ses compatriotes. Bien sur, cela n'avait pas était sans victimes, ni même sans conséquences. Mais Tell voulait à tout pris réparer son erreur et le fait de m'avoir déçu et blessé par la même occasion. Maintenant, je ne pouvais qu'être éternellement reconnaissante envers elle.
Cependant Wynaëll m'avait aussitôt mise en garde que Kyron pouvait revenir à tout moment. Cet elf était vraiment trop tenace pour laisser une "prisonnière" dans la nature comme ca. A ces paroles j'avais froncé les sourcils. Il était hors de question qu'il reprenne ma mère et plus simple encore, hors de question qu'il remette les pieds dans les environs.
Suite à ces retrouvailles et ces nouvelles, je m'étais échappée de la maison quelques minutes pour prendre l'air et penser à un plan afin d'éviter que Kyron revienne menacer ma famille. Mais la raison principale qui m'avait fait aller dehors, était de téléphoner à Ian et à Amanda.
Elle avait inspiré une bonne bouffé d'air avant de m'avouer que c'était elle qui avait été chercher ma mère avec l'aide de Wynaëll et d'autres de ses compatriotes. Bien sur, cela n'avait pas était sans victimes, ni même sans conséquences. Mais Tell voulait à tout pris réparer son erreur et le fait de m'avoir déçu et blessé par la même occasion. Maintenant, je ne pouvais qu'être éternellement reconnaissante envers elle.
Cependant Wynaëll m'avait aussitôt mise en garde que Kyron pouvait revenir à tout moment. Cet elf était vraiment trop tenace pour laisser une "prisonnière" dans la nature comme ca. A ces paroles j'avais froncé les sourcils. Il était hors de question qu'il reprenne ma mère et plus simple encore, hors de question qu'il remette les pieds dans les environs.
Suite à ces retrouvailles et ces nouvelles, je m'étais échappée de la maison quelques minutes pour prendre l'air et penser à un plan afin d'éviter que Kyron revienne menacer ma famille. Mais la raison principale qui m'avait fait aller dehors, était de téléphoner à Ian et à Amanda.
Et tout en téléphonant, j'avais ma propre idée de comment mettre ma famille en sécurité. Notamment ma mère.
Dès le lendemain matin, Ian était au pas de ma porte avec l'espoir d'enfin revoir sa bien aimé. J'avais de nouveau été surprise de voir Ian aussi ... "vieux" et fatigué par toute cette histoire. Il avait vraiment mal vécu la disparition de ma mère... Par la même occasion, Amanda avait terriblement bien grandis. C'était une jeune femme à présent. Mais je ne pouvais pas les laisser à la porte et je les avais fait entrer afin de les mener à ma mère, la mère d'Amanda et la femme de Ian.
Les retrouvailles étaient de nouveau riche en émotions...
Quelques jours s'étaient passés et ma famille était enfin au complet même si les enfants de l'orphelinat n'étaient pas présent. Ce moment était tellement inespéré que j'avais du mal à y croire. Cependant Amanda ne pouvait pas rester plus longtemps car elle devait repartir au Domaine du Bois Blanc pour des raisons personnelles concernant certains chevaux. Mais elle m'avait fait jurer qu'on resterait en contacte. Et cela n'avait pas manqué, je parlais souvent avec elle soit par Skype, par Mails ou encore par SMS. Le fait d'avoir retrouvé ma mère avait refait naître quelque chose en moi que j'avais perdu avec ma sœur depuis mon départ du refuge. Je l'avais laissé seule dans un moment où elle avait le plus besoin de moi... J'avais la sensation que je devais rattraper cela.
Quelques jours s'étaient passés et ma famille était enfin au complet même si les enfants de l'orphelinat n'étaient pas présent. Ce moment était tellement inespéré que j'avais du mal à y croire. Cependant Amanda ne pouvait pas rester plus longtemps car elle devait repartir au Domaine du Bois Blanc pour des raisons personnelles concernant certains chevaux. Mais elle m'avait fait jurer qu'on resterait en contacte. Et cela n'avait pas manqué, je parlais souvent avec elle soit par Skype, par Mails ou encore par SMS. Le fait d'avoir retrouvé ma mère avait refait naître quelque chose en moi que j'avais perdu avec ma sœur depuis mon départ du refuge. Je l'avais laissé seule dans un moment où elle avait le plus besoin de moi... J'avais la sensation que je devais rattraper cela.
De temps en temps, Wynaëll venait nous rendre visite et elle avait surtout ramené la jument Oenrir à ma mère. Oenrir avait eu une réaction face à ma mère à en crever les coeur. Elle était plus que heureuse de retrouver sa cavalière, sa seule et unique cavalière. Je crois pour la première fois de ma vie, je pouvais dire qu'un cheval pouvait pleurer de joie. Elles passaient donc pas mal de moment ensemble, parfois accompagnées de Wynaëll pour conter tout le temps qu'elle avait eu avec Oenrir à ses côté en attendant le retour d'Ophënya.
J'avais l'impression que la vie était de nouveau belle et pleins de bonnes choses. Ma mère et Ian étaient plus qu'heureux de s'être retrouvés et moi la première. Mais je ne perdais pas en vu le problème que pouvait poser Kyron. Et je comptais bien régler ce problème une bonne fois pour toute !
J'avais toujours espéré passer ce Noël en famille et par le plus beau des miracles, je l'avais passé avec ma famille et notamment avec ma mère. Je ne réalisais toujours pas qu'elle était belle et bien parmi nous. Ian n'avait pas quitté la maison et il ne comptait pas repartir sans sa bien aimé. Ce qui était tout à fait normal à mes yeux. Ils étaient tellement amoureux qu'on n'osait même pas les déranger quand ils étaient ensemble. Et Ian, Ian est vraiment heureux d'avoir retrouvé sa femme.
Les enfants étaient entre temps, revenus, j'avais donc dû leur expliquer qui était cette vieille dame et ce vieux monsieur, mais bien sur, sans rentrer dans les détails... Ils semblaient me croire sans broncher et le fait d'avoir deux personnes en plus à la maison, ne semblait ne pas trop perturber leur quotidien.
Cependant de mon côté, je cherchais toujours à me débarrasser de Kyron. Je voulais à tout pris le mettre hors circulation en lui supprimant la vie. D'ailleurs, j'étais tellement déterminée que cette obsession me faisait limite peur. Je n'en démordais pas. Et en potassant la nuit dans mon grenier alors que tout le monde dormait, j'avais, enfin je pense, trouvé un plan pour éliminer ce mauvais individu. J'avais réussi à entrer en contacte avec l'elf noir pour lui donner un rdv dans la forêt au petit matin.
Je m'étais bien préparée à affronter cet elf noir que je ne pouvais plus voir. Comme prévu, je l'attendais au bord du chemin de la forêt. Mais il ne semblait pas encore présent. Cependant, je sentais bien quelqu'un se déplacer derrière moi...comme si j'étais assez bête pour ne pas le sentir venir...
J'avais toujours espéré passer ce Noël en famille et par le plus beau des miracles, je l'avais passé avec ma famille et notamment avec ma mère. Je ne réalisais toujours pas qu'elle était belle et bien parmi nous. Ian n'avait pas quitté la maison et il ne comptait pas repartir sans sa bien aimé. Ce qui était tout à fait normal à mes yeux. Ils étaient tellement amoureux qu'on n'osait même pas les déranger quand ils étaient ensemble. Et Ian, Ian est vraiment heureux d'avoir retrouvé sa femme.
Les enfants étaient entre temps, revenus, j'avais donc dû leur expliquer qui était cette vieille dame et ce vieux monsieur, mais bien sur, sans rentrer dans les détails... Ils semblaient me croire sans broncher et le fait d'avoir deux personnes en plus à la maison, ne semblait ne pas trop perturber leur quotidien.
Cependant de mon côté, je cherchais toujours à me débarrasser de Kyron. Je voulais à tout pris le mettre hors circulation en lui supprimant la vie. D'ailleurs, j'étais tellement déterminée que cette obsession me faisait limite peur. Je n'en démordais pas. Et en potassant la nuit dans mon grenier alors que tout le monde dormait, j'avais, enfin je pense, trouvé un plan pour éliminer ce mauvais individu. J'avais réussi à entrer en contacte avec l'elf noir pour lui donner un rdv dans la forêt au petit matin.
Je m'étais bien préparée à affronter cet elf noir que je ne pouvais plus voir. Comme prévu, je l'attendais au bord du chemin de la forêt. Mais il ne semblait pas encore présent. Cependant, je sentais bien quelqu'un se déplacer derrière moi...comme si j'étais assez bête pour ne pas le sentir venir...
Je ne perdis pas une seule seconde à me retourner pour enfin me retrouver face à ce monstre. Et en me retrouvant face à lui, en plongeant mes yeux dans les siens, on pouvait clairement voir sa méchanceté. On avait même pas l'impression qu'il le cachait.. Il vivait pour être méchant et maléfique. Mais étrangement, je n'avais pas peur de sa présence. Nous nous regardions comme chien et chat avant de commencer à se balancer quelques mots dans la tronche. Malgré tout, j'avais tenté de comprendre pourquoi il en voulait tant à ma mère, à ma famille. Mais à part des grognements et des paroles emplis de méchancetés, il ne savait pas faire grand chose d'autre... Et cette réaction de sa part, avait tendance à légèrement me mettre en colère.
La "conversation", si on pouvait appeler ca comme ca, montait crescendo et il avait levé la main sur moi, peut-être simplement pour m'attraper le bras afin de me faire comprendre qu'il ne cesserait de poursuivre ma famille jusqu'au dernier survivant. Mais il n'avait pas eu le temps de poser la seconde sur moi que je l'avais repoussé tellement fort qu'il en était tombé par terre. Et je crois que cela ne lui avait pas du tout plu. Cependant, j'avais pu remarquer qu'il possédait des tatouages rouges et non noirs comme Wynaëll. Et si j'avais bien retenu la leçon, les elfs noirs aux tatouages rouges étaient des chefs de tribu. Et si ils venaient à mourir, toute sa tribu serait dispersé et la plus part se retrouveraient sous les ordres d'un nouveau chef. Ce qui voulait donc dire que si je le tuais....ma famille serait sauvé ! Je n'avais donc pas réfléchis une seule seconde avant de faire apparaître ma baguette et à commencer à articuler des mots que seuls les espèces surnaturelles pouvaient comprendre. Kyron avait compris mes attentions.
Il s'était alors empressé de baratiner des mots afin de me jeter un sors pour se défendre. Cependant, et sans vraiment en être consciente, je l'avais aussitôt contre carré et j'avais réussi à paralyser Kyron. Il ne pouvait plus bouger ni me jeter ses pouvoirs visiblement si petits à côté des miens.
J'étais comme possédée, je ne me sentais plus moi même, je sentais simplement la magie œuvrer afin d'accomplir mon plus cher désire. Je lançai quelques petites flammes sur l'elf noir...
J'étais comme possédée, je ne me sentais plus moi même, je sentais simplement la magie œuvrer afin d'accomplir mon plus cher désire. Je lançai quelques petites flammes sur l'elf noir...
Je continuais à amplifier mon sors, mes flammes. Je voulais qu'il brûle et qu'il souffre autant que j'avais souffert pendant tout ce temps où il retenait ma mère sans laisser une seule trace d'elle. Je voulais le voir réduit en cendre et me venger !
Au loin, j'entendis une voix qui crier pour me dire d'arrêter cela. Mais je ne pouvais pas. Pas si prêt du but ! Et malgré ma concentration à déployer mes flammes sur Kyron, j'entendais et je sentais quelqu'un approcher à grand pas dans la neige.
Au loin, j'entendis une voix qui crier pour me dire d'arrêter cela. Mais je ne pouvais pas. Pas si prêt du but ! Et malgré ma concentration à déployer mes flammes sur Kyron, j'entendais et je sentais quelqu'un approcher à grand pas dans la neige.
C'était Wynaëll qui voulait m'arrêter. Ceci était hors de question pour moi, j'avais accéléré l'intensité de mes flammes pour le tuer plus vite. On pouvait entendre ses cries de détresses et de souffrances et bizarrement, plus je l'entendait crier, plus cela me rendait heureuse et satisfaite. A l'arrivé de Wynaëll, Kyron n'était plus qu'un tas de cendre... J'avais de nouveau ôté la vie d'un être vivant.
De retour à la maison, et visiblement, tout le monde était occupé à ses petites affaires, je filais à grand pas dans ma chambre où personne ne venait me déranger. C'est pour cela que Wynaëll et Tell m'y avaient rejoins. Je pouvais voir dans le regard de Tell, une certaine déception. Et elle n'avait pas besoin de parler ni de me dire que je commençais vraiment à basculer du côté obscure de la magie en tuant des gens de la sorte. Elle avait entièrement raison même si pour moi, je ne me sentais pas une personne "obscure" à partir du moment où je protégeais ma famille d'une réelle menace. Mais pour les Elfes Blancs, cela était important...
Wynaëll n'était pas restée longtemps car elle avait à faire auprès des siens. Il ne restait plus que Tell, et moi.
Nous avions longuement discuté de ce qu'il venait de se passer. Mais j'avais également exposé mes envies et mes besoins par rapport à tout ca, à la magie, à ce que j'étais, une Lignière. Je voulais vivre une vie normal sans avoir besoin de me battre pour survivre ou encore pour protéger mes proches, ma famille. Tell comprenait ce que je ressentais mais elle avait beaucoup de mal à accepter ma demande : me laisser en paix et mettre ma magie ainsi que mes obligations et cet autre monde de côté... Je voulais vivre ma vie sans avoir ce poids sur les épaules et avoir peur de tomber sur un danger comme Kyron.
Tell avait versé une larme avant de prendre une décision. Elle avait accepté que je rende mon poste de gardienne entre les deux mondes. Car oui, j'avais hérité d'une ville étant plus jeune où je devais y vivre pour veiller sur l'orbe qui permettaient de voyager entre ces deux mondes et donc veiller sur cet autre monde. Je devais veiller à ce que personne ne passe d'un monde à l'autre sans une bonne raison.
Tell l'avait fait apparaître juste à côté de nous avant de le rendre miniature et de le mettre dans un bijou. Si je rejetais mes fonctions de gardienne, je devais malgré tout garder l'orbe prêt de moi si jamais je changeais d'avis un jour. De plus, le fait de le mettre dans un bijou, le mettait en "veille" et donc un en moins sur les trois à surveiller et donc moins de risques pour que des personnes voyagent d'un monde à l'autre.
Tell avait également bien compris qu'il était mieux que l'on ne se voit plus... Elle m'avait donc embrassé le front avec une larme, comme une mère qui avait veillé sur son enfant le temps qu'il apprenne les risques de la vie, de la magie... Sentir sa larme tomber sur ma joue, m'avait terriblement touché... Puis, en l'espace d'une demie seconde, Tell, la mère qui m'a enseigné la magie s'était volatilisée...
Wynaëll n'était pas restée longtemps car elle avait à faire auprès des siens. Il ne restait plus que Tell, et moi.
Nous avions longuement discuté de ce qu'il venait de se passer. Mais j'avais également exposé mes envies et mes besoins par rapport à tout ca, à la magie, à ce que j'étais, une Lignière. Je voulais vivre une vie normal sans avoir besoin de me battre pour survivre ou encore pour protéger mes proches, ma famille. Tell comprenait ce que je ressentais mais elle avait beaucoup de mal à accepter ma demande : me laisser en paix et mettre ma magie ainsi que mes obligations et cet autre monde de côté... Je voulais vivre ma vie sans avoir ce poids sur les épaules et avoir peur de tomber sur un danger comme Kyron.
Tell avait versé une larme avant de prendre une décision. Elle avait accepté que je rende mon poste de gardienne entre les deux mondes. Car oui, j'avais hérité d'une ville étant plus jeune où je devais y vivre pour veiller sur l'orbe qui permettaient de voyager entre ces deux mondes et donc veiller sur cet autre monde. Je devais veiller à ce que personne ne passe d'un monde à l'autre sans une bonne raison.
Tell l'avait fait apparaître juste à côté de nous avant de le rendre miniature et de le mettre dans un bijou. Si je rejetais mes fonctions de gardienne, je devais malgré tout garder l'orbe prêt de moi si jamais je changeais d'avis un jour. De plus, le fait de le mettre dans un bijou, le mettait en "veille" et donc un en moins sur les trois à surveiller et donc moins de risques pour que des personnes voyagent d'un monde à l'autre.
Tell avait également bien compris qu'il était mieux que l'on ne se voit plus... Elle m'avait donc embrassé le front avec une larme, comme une mère qui avait veillé sur son enfant le temps qu'il apprenne les risques de la vie, de la magie... Sentir sa larme tomber sur ma joue, m'avait terriblement touché... Puis, en l'espace d'une demie seconde, Tell, la mère qui m'a enseigné la magie s'était volatilisée...
J'avais passé quelques jours à être ailleurs, et à la fois triste.. Mais j'avais l'impression d'être plus libre et d'avoir un poids en moins sur les épaules. Triste mais je me sentais mieux. Je pouvais respirer sans avoir peur de manquer d'oxygène.
Ma mère était venue me voir, accompagné de Ian, ils semblaient vouloir me dire quelque. Et en effet, c'était bien le cas. Ils voulaient m'annoncer qu'ils souhaitaient partir pour finir leurs vieux jours ensembles, à s'aimer, et à rattraper le temps perdu et aussi tout simplement profiter des bons moments de la vie. Cette décision m'avait peiné mais dans le fond, je préférais savoir ma mère heureuse et vivre sa vie qu'elle n'avait pas pu avoir à cause des connaissances qu'elle avait au sujet...de la magie et bien d'autres encore qui concernait ce domaine.
Je l'avais serré dans mes bras, si fort qu'elle m'avait tapoté l'épaule pour me demander d'éviter que je l'étouffe. Elle m'avait elle aussi embrassé le front pour me dire au revoir et que je pouvais à présent, voler de mes propres ailes en toute sérénité. Ils avaient prévu leur départ au lendemain matin à la première heure mais Ophënya devait faire une chose avant de partir : rendre une vraie liberté à sa jument Oenrir. Cette licorne était de nouveau libre et pouvait être aussi sauvage que leur légende pouvait le dire.
Tout le monde avait recommencé à vivre sa vie.
Ma mère était venue me voir, accompagné de Ian, ils semblaient vouloir me dire quelque. Et en effet, c'était bien le cas. Ils voulaient m'annoncer qu'ils souhaitaient partir pour finir leurs vieux jours ensembles, à s'aimer, et à rattraper le temps perdu et aussi tout simplement profiter des bons moments de la vie. Cette décision m'avait peiné mais dans le fond, je préférais savoir ma mère heureuse et vivre sa vie qu'elle n'avait pas pu avoir à cause des connaissances qu'elle avait au sujet...de la magie et bien d'autres encore qui concernait ce domaine.
Je l'avais serré dans mes bras, si fort qu'elle m'avait tapoté l'épaule pour me demander d'éviter que je l'étouffe. Elle m'avait elle aussi embrassé le front pour me dire au revoir et que je pouvais à présent, voler de mes propres ailes en toute sérénité. Ils avaient prévu leur départ au lendemain matin à la première heure mais Ophënya devait faire une chose avant de partir : rendre une vraie liberté à sa jument Oenrir. Cette licorne était de nouveau libre et pouvait être aussi sauvage que leur légende pouvait le dire.
Tout le monde avait recommencé à vivre sa vie.
Voilà déjà quelques petites semaines que tout cela s'est passés. Mes parents sont partis comme prévu et semblent passer de jours heureux. Ils se sont installés dans les montagnes afin de profiter de la tranquillité de ces lieux calmes et reposants. Mais bien sûr, ma mère ne pouvait se passer des animaux et surtout de leur venir en aide. Elle avait alors ouvert une sorte de petit refuge pour les petits animaux. Seulement les petits, car elle n'avait plus la force de gérer des chevaux, par exemple.
De mon côté, j'avais l'impression qu'une certaine page venait de se tourner voire même tout un chapitre. C'est un soulagement d'avoir enfin récupéré ma mère et de savoir qu'elle passe des jours heureux avec son bien aimé. Je suis heureuse mais j'ai l'impression d'avoir comme un vide à l'intérieur de moi. Je pense que c'est le fait d'avoir tellement cherché pendant pas mal de temps des traces sur ma mère qu'à présent, cela fait drôle d'avoir clore/réglé cette "affaire". Mais je suis réellement soulagée de l'a savoir enfin en lieu sûr. Et je suis également soulagée d'avoir mis tout ce qui est magique de côté, je me sens quelque part, plus en sécurité.
L'hiver semble partir petit à petit sans trop laisser de traces. Les chevaux semblent plutôt joyeux de retrouver de l'herbe bien fraîche et surtout bien verte digne d'un bon près à brouter. Les enfants de l'orphelinat mènent leur petite vie sans s'être doutés du moindre détail de ce qui s'est dernièrement passé.
Tout le monde va bien mais personnellement, j'ai besoin de changer d'air suite à tout ca. Et je crois qu'à chaque fois que je dois enlever la vie de quelqu'un, j'ai ce besoin de changer et d'aller ailleurs pour ne pas trop y repenser. Car bien que je n'ai pas eu de difficultés à supprimer la vie de Kyron, ce n'est quand même pas rien et j'ai parfois l'impression d'être une sorte criminelle... Surtout quand je repense aux paroles de Tell. En plus de ca, j'ai demandé aux personnes les plus proches comme Tell, a ne plus les voir alors je me sens parfois seule bien que j'ai les enfants à mes côtés. Mais ce n'est pas tout à fait pareil.
C'est pour cela que j'ai contacté ma sœur Amanda afin de lui proposer quelque chose et d'au passage, rattraper le temps perdu et de le fait de l'avoir laissé seule quand elle avait le plus besoin d'une présence féminine.
Amanda avait accepté avec le plus grand plaisir.
Pour ce projet Amanda et moi, devions abandonner toutes les deux ce qu'on avait construit chacune de notre côté, car cela débouchait sur un déménagement afin de se retrouver en de nouveaux lieux et paysages, mais aussi pour mener à bien ce projet ensemble. Nous nous lancions donc dans un élevage de chevaux composé de deux races. Je garde bien évidement mon orphelinat et mon refuge pour les animaux en retraites, car comme ma mère, je ne peux m'empêcher d'aider les autres de toutes espèces. Et si je souhaitais me relancer dans du nouveau, c'est aussi pour tenter de lancer un projet tout nouveau et plus personnel, et ma belle Balkö en serait la pièce maîtresse.
Tout le monde était vraiment enthousiastes à l'idée de ce déménagement et d'entre autre, un nouveau départ. Les enfants, les adultes, comme les animaux qui sentaient bien d'un changement à l'horizon.
Et moi la première, j'avais hâte de m'installer dans notre nouveau domaine, qui se prénommait, le Domaine du Parchemain Ancien.
De mon côté, j'avais l'impression qu'une certaine page venait de se tourner voire même tout un chapitre. C'est un soulagement d'avoir enfin récupéré ma mère et de savoir qu'elle passe des jours heureux avec son bien aimé. Je suis heureuse mais j'ai l'impression d'avoir comme un vide à l'intérieur de moi. Je pense que c'est le fait d'avoir tellement cherché pendant pas mal de temps des traces sur ma mère qu'à présent, cela fait drôle d'avoir clore/réglé cette "affaire". Mais je suis réellement soulagée de l'a savoir enfin en lieu sûr. Et je suis également soulagée d'avoir mis tout ce qui est magique de côté, je me sens quelque part, plus en sécurité.
L'hiver semble partir petit à petit sans trop laisser de traces. Les chevaux semblent plutôt joyeux de retrouver de l'herbe bien fraîche et surtout bien verte digne d'un bon près à brouter. Les enfants de l'orphelinat mènent leur petite vie sans s'être doutés du moindre détail de ce qui s'est dernièrement passé.
Tout le monde va bien mais personnellement, j'ai besoin de changer d'air suite à tout ca. Et je crois qu'à chaque fois que je dois enlever la vie de quelqu'un, j'ai ce besoin de changer et d'aller ailleurs pour ne pas trop y repenser. Car bien que je n'ai pas eu de difficultés à supprimer la vie de Kyron, ce n'est quand même pas rien et j'ai parfois l'impression d'être une sorte criminelle... Surtout quand je repense aux paroles de Tell. En plus de ca, j'ai demandé aux personnes les plus proches comme Tell, a ne plus les voir alors je me sens parfois seule bien que j'ai les enfants à mes côtés. Mais ce n'est pas tout à fait pareil.
C'est pour cela que j'ai contacté ma sœur Amanda afin de lui proposer quelque chose et d'au passage, rattraper le temps perdu et de le fait de l'avoir laissé seule quand elle avait le plus besoin d'une présence féminine.
Amanda avait accepté avec le plus grand plaisir.
Pour ce projet Amanda et moi, devions abandonner toutes les deux ce qu'on avait construit chacune de notre côté, car cela débouchait sur un déménagement afin de se retrouver en de nouveaux lieux et paysages, mais aussi pour mener à bien ce projet ensemble. Nous nous lancions donc dans un élevage de chevaux composé de deux races. Je garde bien évidement mon orphelinat et mon refuge pour les animaux en retraites, car comme ma mère, je ne peux m'empêcher d'aider les autres de toutes espèces. Et si je souhaitais me relancer dans du nouveau, c'est aussi pour tenter de lancer un projet tout nouveau et plus personnel, et ma belle Balkö en serait la pièce maîtresse.
Tout le monde était vraiment enthousiastes à l'idée de ce déménagement et d'entre autre, un nouveau départ. Les enfants, les adultes, comme les animaux qui sentaient bien d'un changement à l'horizon.
Et moi la première, j'avais hâte de m'installer dans notre nouveau domaine, qui se prénommait, le Domaine du Parchemain Ancien.
Fin du Chapitre 4 ! ☺