Narratrice : Patience Moro
Voilà maintenant presque plus de 4 mois que maman a disparu... Le pire dans tout ca, c'est qu'on n'a aucunes nouvelles d'elle... enfin surtout aucunes pistes, aucuns indices, aucuns ... rien ! Notre peine règne toujours sur le refuge mais nous avançons tout de même. Il le faut bien... Cependant, je ne peux m'empêcher de penser que tout cela, est de ma faute. Si je n'avais pas été choisi pour garder ce fichu portail secret, ma mère serait encore là. Je commence à me remettre doucement de sa disparition, mais Amanda, ma petite sœur, a beaucoup de mal et ne cesse de pleurer.
Ian est également triste et le vie mal mais il arrive à plus prendre sur lui que Amanda et moi. J'ai d'ailleurs fini par tout lui avouer car il se posait trop de questions et je ne voulais plus lui mentir. Il avait le droit de savoir ce que j'étais, et certainement l'origine de la disparition de maman. J'aurais pensé qu'il m'en voudrait mais en fait, non pas du tout. Il était resté compréhensible. Il regrettait juste de l'apprendre que maintenant.
D'ailleurs, comme ma mère est portée disparue depuis trop longtemps aux yeux de la loi, Ian a du passer directeur du refuge afin de le garder ouvert. J'aurais très bien pu le reprendre, mais je ne m'en sentais pas encore capable... Cependant, cela ne m'empêchait pas de prendre des décisions et de les mettre en places etc. Ian, mon beau-père, avait juste le refuge en son nom pour garder un minimum de sécurité.
C'était vraiment un passage de notre vie très dure. On avait beaucoup de mal et on avait l'impression que le refuge était ... vide ... Amanda s'occupait l'esprit comme elle pouvait avec les animaux en pensions et nos chevaux. Ian, montait beaucoup plus Kaito pour lui aussi se changer les idées. Moi, heureusement que Robin, mon petit ami était là pour me soutenir. Il passait le plus de temps possible avec moi et ca lui arrivait de défier la loi du vampire, comme dormir avec moi la nuit alors que c'est le meilleur moment pour lui de sortir...
Voilà maintenant presque plus de 4 mois que maman a disparu... Le pire dans tout ca, c'est qu'on n'a aucunes nouvelles d'elle... enfin surtout aucunes pistes, aucuns indices, aucuns ... rien ! Notre peine règne toujours sur le refuge mais nous avançons tout de même. Il le faut bien... Cependant, je ne peux m'empêcher de penser que tout cela, est de ma faute. Si je n'avais pas été choisi pour garder ce fichu portail secret, ma mère serait encore là. Je commence à me remettre doucement de sa disparition, mais Amanda, ma petite sœur, a beaucoup de mal et ne cesse de pleurer.
Ian est également triste et le vie mal mais il arrive à plus prendre sur lui que Amanda et moi. J'ai d'ailleurs fini par tout lui avouer car il se posait trop de questions et je ne voulais plus lui mentir. Il avait le droit de savoir ce que j'étais, et certainement l'origine de la disparition de maman. J'aurais pensé qu'il m'en voudrait mais en fait, non pas du tout. Il était resté compréhensible. Il regrettait juste de l'apprendre que maintenant.
D'ailleurs, comme ma mère est portée disparue depuis trop longtemps aux yeux de la loi, Ian a du passer directeur du refuge afin de le garder ouvert. J'aurais très bien pu le reprendre, mais je ne m'en sentais pas encore capable... Cependant, cela ne m'empêchait pas de prendre des décisions et de les mettre en places etc. Ian, mon beau-père, avait juste le refuge en son nom pour garder un minimum de sécurité.
C'était vraiment un passage de notre vie très dure. On avait beaucoup de mal et on avait l'impression que le refuge était ... vide ... Amanda s'occupait l'esprit comme elle pouvait avec les animaux en pensions et nos chevaux. Ian, montait beaucoup plus Kaito pour lui aussi se changer les idées. Moi, heureusement que Robin, mon petit ami était là pour me soutenir. Il passait le plus de temps possible avec moi et ca lui arrivait de défier la loi du vampire, comme dormir avec moi la nuit alors que c'est le meilleur moment pour lui de sortir...
D'ailleurs, ce matin, un nouveau retraité devait arriver et je devais donc me lever. Ian n'était pas là, il était parti en ville avec Amanda pour compléter les papiers concernant la reprise du refuge. Je me regardai dans le miroir, et je constatais de plus en plus que mes cernes se voyaient d'avantage chaque jours. Je mettais alors une tonne de maquillage pour cacher le tout.
Je regardai ensuite par la fenêtre. L'ambiance était triste, mais le temps l'était aussi. Cela ne nous aidait pas. Pourtant, en temps "normal" j'adorais l'hiver et la neige, mais pas cette année.
Enfin bref, je laissai Robin seul dans ma chambre pour aller enfiler des vêtements chauds pour aller accueillir notre nouveau venu. Je commençais tout juste à remanger le matin. Même si l'envie n'était pas vraiment là, il ne fallait pas se cacher que ca faisait du bien de se remplir l'estomac !
Pour une fois, aujourd'hui il ne neigeait pas. C'était donc l'occasion rêvé pour sortir les chevaux des boxes et/ou de les faire travailler un peu. Pour ma part, je venais de réceptionner Donathan, un vieux cheval méritant sa retraite. Il venait de l'élevage du Faucon Noir. Il était beau et plutôt coloré, j'aimais bien.
Malheureusement, nous manquions un peu de place. Ian avait alors fait un box provisoire dans le manège afin que Donathan est tout de même un endroit pour lui. Il semblait s'y plaire.
Ian venait de rentrer avec Amanda. Il devait s'occuper de deux trois trucs alors Amanda était parti faire un bonhomme de neige dans le pré des chevaux avant qu'ils ne sortent pour la journée.
En début d'après-midi, je devais m'occuper d'Instagram. Cette petite jument avait bien repris depuis son arrivée. Elle avait regrossi et elle s'était aussi musclée. Elle devenait une belle jument ! Par contre, elle avait toujours un sacré souci avec les selles. Mais, à force d'en poser à côté d'elle pendant ses pansages et autres, elle commençait à ne plus trop y prêter attention. D'ailleurs, aujourd'hui sa séance de travail portait sur le port de la selle ! Je lui avais gentiment posé sur le dos, elle avait rien dis. Mais, quand elle a commencé à marcher avec, les sauts de moutons étaient au rdv. Je l'a longea un moment et c'était folklo à voir !
Et bonjour, les coups de culs, les ruades. Elle faisait tout pour jeter cette foutu selle qui était sur son dos. Elle dépensait beaucoup d'énergie dans cet objectif, mais moi, je la laissais faire. A force elle se fatiguerait et je pourrais enfin lui faire comprendre que la selle est inoffensive et ainsi, vraiment la travailler.
En effet, elle finit par se calmer et finit par gentiment trottiner. Elle était essoufflée par sa bêtise et semblait ne plus réellement prêter attention à sa selle.
Elle était alors venue vers moi dans un pas posé et calme, l'air de dire "D'accord j'ai compris. La selle, ca va mieux." Je lui avais tendu la main, elle avait posé ses naseaux chauds contre ma paume. Certes elle était essoufflée, mais elle devait également comprendre qu'il manquait quelqu'un et qu'au fond, je n'étais pas trop d'humeur à supporter ses caprices. Je lui enlevai la longe, lui mis les rênes, m'approchai de son dos pour me hisser avec douceur sur elle. Elle ne bougea pas d'un poils, seule une oreille dressée vers moi en arrière pour garder l'attention sur moi. Je pressai légèrement les talons, elle déclencha le pas. J'avais fais quelques tours de carrière comme ca, en selle, et elle avait très bien réagis. La selle était gagnée pour elle !
Un peu plus tard en fin de journée, Ian était parti prendre l'air en balade avec notre nouveau venu. Cela lui permettait au passage, de voir son comportement et ainsi, d'apprendre à le connaitre. Ceci était à présent son rôle... Il devait faire le travail de maman.
Quand vint l'heure du repas des chevaux, tout le monde s'y mettait. Même Robin nous aidait parfois quand il ne faisait plus trop jour. Mais je remarquais qu'Oenrir mangeait de moins en moins et semblait de plus en plus triste. Elle restait toujours ou très souvent au fond de son box. On ne l'entendait plus, elle était devenue discrète voire même invisible. Je l'a surveillais assez régulièrement, notamment à l'heure des repas car j'avais peur qu'elle se laisse aller. Oenrir, était la seule "chose" qui me restait de ma mère, il était donc hors de question que je l'a perde elle aussi !
Le temps passait toujours et toujours sans aucunes nouvelles de ma mère. L'hiver avait même presque touché à sa fin... Bien sur je ne cessais de me poser des questions sur la disparition de ma mère. Je m'imaginais un grand nombre de possibilités sur ce qui lui aurait pu lui arriver. D'ailleurs, je venais de prendre conscience que je n'avais plus de nouvelles de Tell. Elle ne venait plus me voir et elle ne m'apportait donc plus aucunes réponses.
J'étais devant la télé un soir, avec Oblet, je regardais le film sans vraiment trop le regarder. Puis je décidai de monter dans le grenier pour tenter de renter en contacte avec Tell. Je voulais savoir pourquoi ma mère avait disparue.
J'étais devant la télé un soir, avec Oblet, je regardais le film sans vraiment trop le regarder. Puis je décidai de monter dans le grenier pour tenter de renter en contacte avec Tell. Je voulais savoir pourquoi ma mère avait disparue.
Une fois arrivée dans le grenier, je regardais à droite et gauche afin d'essayer de trouver un petit quelque chose qui me permettrait de faire appel à Tell. Je n'avais jamais eu à faire à ce type de précédé et je ne savais pas comment on pouvait appeler un être de l'autre monde et encore moins si cela était possible. Bêtement, je l'appelai de vive voix...
Je criais de toutes mes forces mais en vain... Je ne comprenais pas pourquoi Tell ne montrait plus aucun signe de vie. Elle allait m'abandonner ? Je cessai de crier dans le vide, enfin d'appeler dans le vide puis mes yeux tombèrent sur une baguette magique posée sur la table qui en fait, était là depuis le début mais dont je n'avais pas vraiment fait attention.
Je l'a pris en main et décidai de l'essayer. Je voulais voir ce qui se passait si je me concentrais afin d'obtenir des effets de magies.
Je l'a pris en main et décidai de l'essayer. Je voulais voir ce qui se passait si je me concentrais afin d'obtenir des effets de magies.
Je n'eu simplement besoin que de faire quelques mouvements pour faire apparaître des symboles, des lettres, des ptites choses lumineuses et bien d'autres encore.
Puis, je repensai au livre posé sur le gros meuble ancien derrière moi. Je posai la baquette magique sur la table puis ouvris ce livre. Il était encore muni de pages blanches mais au contacte de mes doigts, des lignes se dessinèrent pour laisser place à des formules. C'était des formules de magies dont quelques unes étaient pour faire apparaître des objets ou quelque chose qui s'en rapprochait. Je mémorisai l'une d'entre elle et je fis apparaître une pomme. Je l'avais déjà fait avec Tell, mais là, j'étais plutôt fière de l'avoir fais sans aide.
Elle ne semblait pas très fraiche mais je l'a mis tout de même de côté afin de l'exploiter un peu plus sur des prochaines expériences. Si Tell ne venait plus me rendre visite pour m'apporter d'avantage de savoirs, et d'avantage de réponses, j'allais le faire toute seule. Depuis ce soir là, je passais chaque nuits à tenter de maîtriser la magie et mes dons qui étaient apparemment si exceptionnels, en m'aidant de ce gros bouquins qui ne cessait de faire apparaître et de faire disparaître ses textes.
Je me disais qu'en sachant maîtriser la magie, je pourrais retrouver ma mère.
Quelques jours voire même quelques petites semaines se sont écoulées et je commençais réellement à maîtriser cette magie. Toujours aucunes nouvelles de Tell, alors je continuais à apprendre seule. Je ne savais pas si je précédais de façon correct pour apprendre la magie, mais je m'en fichais, à partir du moment où je pouvais retrouver ma mère.
Hier soir je m'étais couchée nostalgique. Mes progressions en magie ne m'aidaient en rien vis-à-vis de ma mère... Je pensais de plus en plus à elle mais je me faisais également de plus en plus à l'idée de ne plus la revoir... Ce type de pensé était ignoble, mais je préférais ne plus trop me faire de faux espoirs.
Au matin, je m'étais levée toujours avec cette nostalgie. J'aurais pensé qu'elle parte au cours de la nuit mais non. Je me levais donc pour prendre mon petit déjeuner, avec une sale mine.
Je me disais qu'en sachant maîtriser la magie, je pourrais retrouver ma mère.
Quelques jours voire même quelques petites semaines se sont écoulées et je commençais réellement à maîtriser cette magie. Toujours aucunes nouvelles de Tell, alors je continuais à apprendre seule. Je ne savais pas si je précédais de façon correct pour apprendre la magie, mais je m'en fichais, à partir du moment où je pouvais retrouver ma mère.
Hier soir je m'étais couchée nostalgique. Mes progressions en magie ne m'aidaient en rien vis-à-vis de ma mère... Je pensais de plus en plus à elle mais je me faisais également de plus en plus à l'idée de ne plus la revoir... Ce type de pensé était ignoble, mais je préférais ne plus trop me faire de faux espoirs.
Au matin, je m'étais levée toujours avec cette nostalgie. J'aurais pensé qu'elle parte au cours de la nuit mais non. Je me levais donc pour prendre mon petit déjeuner, avec une sale mine.
La maison était vide ce matin. Ian était déjà dans les écuries pour s'occuper des chevaux et Amanda était retournée en cours, les vacances pour elle étaient finis. Je me sentais seule. Heureusement, Oblet était là, à côté de moi pendant que je mangeais ma petite tartine avec du beurre et de la confiture.
Aujourd'hui c'était mon anniversaire et j'étais seule. Surtout, ma mère n'était pas là pour me le souhaiter. Je venais de prendre 20 ans, et ma mère n'était pas prête de moi ... Je me brossais les dents, et m'habillai, enfin...je me changeais en tenue de cheval car je n'avais pas fait attention que j'avais pris des vêtements "normaux" à la place de ceux d'équitations. J'étais tellement ailleurs ce matin.
Je me dirigeai vers la porte car ce matin je devais continuer le travail avec Instagram. En ouvrant cette porte, j'aurais espéré trouver ma mère se tenant devant moi, me serrant dans ses bras et me dire que tout irait pour le mieux. Mais ce n'était pas le cas. Je soufflai un coup puis descendis les marches pour aller préparer Instagram.
Elle avait encore repris du poids et s'était d'avantage musclée. C'était vraiment une belle jument qui serait bientôt prête pour être en adoption. Je la sellai sans problèmes. A présent, elle acceptait la selle sur son dos mais, il ne fallait pas la poser de façon trop brusque !
On se dirigea vers la carrière et je croisais Oenrir qui était toujours aussi malheureuse. Elle ne mangeait que quelques brindilles de tant à autre et c'était tout.
Elle avait encore repris du poids et s'était d'avantage musclée. C'était vraiment une belle jument qui serait bientôt prête pour être en adoption. Je la sellai sans problèmes. A présent, elle acceptait la selle sur son dos mais, il ne fallait pas la poser de façon trop brusque !
On se dirigea vers la carrière et je croisais Oenrir qui était toujours aussi malheureuse. Elle ne mangeait que quelques brindilles de tant à autre et c'était tout.
Mais aujourd'hui je me concentrai plus sur le travail d'Instagram. C'était vraiment une jument géniale et adorable, loin d'être désagréable malgré son vécu. Je l'échauffais au trot et elle me donnait l'impression d'être sur un petit nuage. Elle avait de belles allures et savait les montrer.
Son galop était tout aussi agréable, j'en oubliais presque l'absence de ma mère.
Un obstacle traînait au milieu de la carrière, ni trop haut, ni trop bas. C'était l'occasion de l'a tester sur cette barre. Là aussi, elle était top ! Elle avait juste un petit défaut : elle avait la fâcheuse tendance à trop regarder l'obstacle et ce qui lui donnait une réception assez étrange. C'est comme si elle était en panique en ne voyant plus l'obstacle. Mais ca, c'était au cavalier de l'a rassurer.
Les jours défilèrent de nouveaux et Instagram progressait à chaque séances, tout comme moi avec la magie. Cependant, Oenrir reprenait du poil de la bête, mais pas dans le bon sens... Je lui "proposais" de sortir au pré mais elle ne voulait pas quitter son box. Mais un jour, je passais à côté de son box pour X raison, et elle s'était jetée sur moi.
A défaut de se laisser aller, elle devenait de plus en plus agressive voire même méchante. Je ne sais pas si c'était une façon de montrer son mécontentement par rapport à l'absence de ma mère mais cela ne me plaisait guerre, tout comme pour Ian. C'était certes Oenrir et surtout la jument de maman, mais ca ne lui donnait pas le droit de devenir infecte.
Je l'emmenai alors un pré me disant que qu'elle avait besoin de se défouler. Elle avait enfin accepté de sortir de ses quatre murs. Elle était nerveuse et me faisait limite peur. Mais je la menai tout même au pré avec Msytral, retrouver sa fille.
Elle trotta quelques instants, lança des coups de cul, etc. Elle se défoulait mais elle ne cessait d'hénir de manière...agressive, encore une fois. Je me disais qu'elle allait se calmer vu qu'elle était en compagnie de sa fille. Erreur ! Quand j'eu le malheur de tourner les talons pour m'occuper du reste du refuge, Oenrir fonça sur Mystral ! Et là ce n'était pas pour jouer mais pour la défier ! Elle l'a mordait, lui donnait des coups de sabots... tout ce qui pouvait blesser ma jument.
Je l'emmenai alors un pré me disant que qu'elle avait besoin de se défouler. Elle avait enfin accepté de sortir de ses quatre murs. Elle était nerveuse et me faisait limite peur. Mais je la menai tout même au pré avec Msytral, retrouver sa fille.
Elle trotta quelques instants, lança des coups de cul, etc. Elle se défoulait mais elle ne cessait d'hénir de manière...agressive, encore une fois. Je me disais qu'elle allait se calmer vu qu'elle était en compagnie de sa fille. Erreur ! Quand j'eu le malheur de tourner les talons pour m'occuper du reste du refuge, Oenrir fonça sur Mystral ! Et là ce n'était pas pour jouer mais pour la défier ! Elle l'a mordait, lui donnait des coups de sabots... tout ce qui pouvait blesser ma jument.
Je devais à tout pris les séparer et remettre Oenrir dans son box ! Je pris mon courage à deux mains et j'entrai dans le pré. Ian m'avait rejoins pour m'aider.